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| Sujet: Ballade au clair de lune [libre] Dim 29 Nov - 12:52 | |
| James se sentait d'humeur plutôt mélancolique. Il marchait le long de la rive du lac sans trop regarder où il allait. Il n'avait pas pris sa cape d'invisibilité et risquait de se faire choper par un prof. Toutefois, ça ne lui importait pas vraiment. Il se sentait vraiment mal et la lettre incendiaire de son père face au dernier rapport de McGonagall (c'était déjà elle, à cette époque non ?) n'y était pas pour rien. Il n'avait rien montré à ses amis. Remus avait déjà assez de problèmes avec la Pleine Lune approchant et Sirius était perpétuellement sur les nerfs et ne se montrait pas très attentif. Alors il s'était tu et il passait une nuit blanche à errer près du lac. Il finit par se laisser tomber au pied de l'arbre près de la rive. Il retira ses lunettes pour se passer une main sur les yeux. Il les remit et mira l'étendue brillante du lac. Il n'avait même pas la force de se composer l'habituel masque rieur, moqueur. Il était complètement à nu et espérait que personne ne le verrait comme ça. Ou si, peut-être Lily. Sa Lily-Jolie qui sortait avec quelqu'un et le snobait. Même s'il ne le montrait pas, c'était aussi douloureux que la lettre de son paternel. Il l'aimait, c'était certain. Et elle, elle le détestait. Ce qu'elle ne savait pas, c'était que s'il se montrait si immature, énervant et tout ce dont elle le définissait, c'était pour échapper aux règles trop strictes qui lui étaient imposées dans la société. Son père ne pouvait pas intervenir à Poudlard, alors il en profitait. Une fois rentré chez lui, la vie n'était plus si géniale. Même lorsque Sirius était là... |
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| Sujet: Re: Ballade au clair de lune [libre] Mar 15 Déc - 21:25 | |
| Je me trouvait dans le dortoir de Serdaigle et ne n’arrivait pas de partir dans les bras de Morphée, je me leva et m’habilla de mon uniforme au couleur bleu et argent, j’aime pas trop c’est couleur mais la maison où je me situé me ressemblait bien. Je passa la porte du dortoir en faisant attention a ne pas de faire remarqué et sortir avec douceur a l’extérieur, une douce vague de froid soufflé a mon visage, me donnant un air innocent. Je marchait sans trop réfléchir, je suivait juste mes pas. L’endroit où mes jambes me menaient, la douceur de la nuit me faisait du bien, j’aimais cette sensation de liberté. Je m’arrêta pour constatait que j’étais près du lac. Je continuai doucement ma marche d’un pas doux et long, mon regard divagué dans les rêves.
Arrivais au quart du lac j’aperçus une silhouette assise l’air maussade, désespérer. Je m’approcha avec prudence de cette silhouette noircit par la couleur de son uniforme et regarda attentivement, la personne semblé être un élève, vu de dos je ne le connaissait pas. De toute façon je ne connaissais pas grand monde ici… A mon arrivée personne n’est venus me voir, si je connaît bien Lupin, d’ailleurs je le trouve sympathique, il ma même serré dans ses bras. Bien que je demander juste de l’aide, lui il était venus sans grand problème et juste avec sa phrase il ma réconforté, me connaissant pas…
Je me concentra sur ses cheveux en bataille, il n’y en avait que deux au cheveux coiffé d’une telle manière, du moins j’en connaissais seulement deux. Black, je n’arrive pas a me rappeler son prénom, je le trouve plutôt mignon certes, mais je ne serais pas une de ses groupies lui courant après juste pour un regard, il me regarde si il en a envie, si il veut parler je suis là mais je ne le regarderais jamais comme une de ses folles furieuses qui crie a chaque fois qu’on prononce son prénom. Il y avait aussi Potter, gentils dans le fond enfin a se que j’avais pu remarquer, il avait l’air sympathique, mais trop modeste a mon goût, de même de son amis Black je ne le poursuivrais pas pendant des heures juste pour avoir son sourire. Je trouve cette manière d’agir pathétique.
Je m’avança encore un peu, je n’arrivais pas a reconnaître ce jeune homme, j’étais sur que c’était un homme, vu juste sa coiffure. Je prit mon courage –bien qu’il n’y en ai pas beaucoup- a deux mains a m’assis juste a ses cotés. J’avais vu juste c’était un élève, maintenant il faillait le reconnaître. Je remerciais ma mère de m’avoir appris à être discrète, je pouvais observé des personnes pendant des heures sans qu’elle s’en rende compte. Cela me faisait bien rire. Je n’arrivais toujours pas à savoir qui était cette personne…
- Bonsoir… Tu ne vas pas bien ?
Je m’efforça à parlé bien que je détestée parlé a des personnes dont je ne savait même pas le nom. Mais ne pas savoir qui était ce jeune homme m’énervé de trop. |
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