Une fois sortie de la grande salle Tifa sortit du château et se dirigea vers le terrain de Qwiditch.
Arriver devant la grande porte noire du terrain de Qwiditch. Elle poussa la porte et traversa un couloir, après quelques mètres elle s'arrêta devant une porte blanc cassé avec l'inscription " Réserve" inscrite en doré sur une plaque noire.
Elle saisit la poignée ronde de la porte et poussa la porte. Tifa arriva dans une pièce ou était entreposer une bonne cinquantaine de balais et d'autres accessoire de Qwiditch. Elle se dirigea vers une flèche d'argent et saisit le balais. Elle Sortit de la grande pièce et ferma la porte derrière elle. Elle continua son chemin jusqu'à une autre porte noire fermée cette fois. Elle sortie sa baguette se racla la gorge et incanta.

- Alohomora.

La serrure émit un petit cliquetis et Tifa poussa la porte de fer. Elle avança de quelques pas sur le terrain, monta sur son balais et tapa du pieds sur le sol et elle décolla. Elle se mit a faire des tour de circuits. Fermant les yeux la plus pars du temps elle profitait de la sensation de liberté que fournissait le fait de voler. Prise d'une envie de tester quelque chose elle redescendit de quelques mètres et essaya de se mettre debout. Au bout de a peine trente secondes elle perdit l'équilibre. Elle eu le réflex de se transformer directement en une lionne. Elle tomba, roula sur le sol et se releva non sans difficulté sur ses quatre pattes. Elle se retransforma en humaine et alla chercher le balais, elle le posa dans un coin et se coucha sur l'herbe du terrain. Les étoiles commençait a apparaitre et Tifa ne se lassait jamais du spectacle de la nuit. Elle se mit alors a réfléchir a tout ce qui c'était passé depuis le début de son année a poudlard, bien que certain élèves de lui rappelaient pas que des bon souvenir la plus part du temps Tifa avait été très heureuse a poudlard. Perdue dans ses pensée elle ne faisait plus attention au bruit, mais elle ne put ignorer le bruit de la grande porte noire qui s'ouvrait. Toujours coucher sur le sol son "balais de location" a quelques mettre elle restait là, immobile attendant de voir qui était la personne qui était entrer dans le stade.

Au contact de Sirius Tifa ressentit un frison parcourir son corps entier. Pour une fois elle s'arrache facilement au magnifique spectacle des étoiles. Elle sourit a Sirius, il y a une demi heure "elle s'entrainait" effectivement, puis elle s'était mise à rêver. Le balais était posé dans un coin. Elle se redressa lentement mais resta tout de même assise sur la sol .
Elle remit ses cheveux en arrière avec sa main gauche.

- On peut dire que je m'entrainait. En fait je me défoulait un peut.

Elle sourit encore un peut plus a Sirius Elle ne se laçais jamais de ses yeux d'argent et luisant.

- Tu es bien le seul qui arrive à me détacher des étoiles. Dit Tifa en rigolant puis retrouvant son sérieux elle continua : Tes yeux feraient de l'ombre au étoiles.

Taïla pensait ce qu'elle venait de dire.
Son cœur battait extrêmement lentement elle était encore plongée dans ses rêverie. Elle se releva bien trop rapidement, sa tête se mit a tourner et elle se rassit rapidement.
Elle était très contente que Elune soit enfermer dans la volière en ce moment ( au moins ce hiboux ne viendrais pas une fois encore s'emmêler les serres dans les cheveux de Sirius )

- Sirius je ... eu ... mince j'ai oublié ce que je voulais dire.

En vérité Tifa savait ce qu'elle voulait dire mais c'était résignée.

- et toi que fais tu ici ?

Sirius devait sans doute remarquer que Tifa ne le lâchait pas du regard. Mais Tifa elle ne se rendait pas compte qu'elle le regardait. Elle réfléchissait et découvrait une chose qui l'éffraiyait légèrement : Elle était entrain de s'éprendre pour Sirius et rsentait un sentiment qu'elle n'avait jamais éprouver.

"Tu es bien le seul qui arrive à me détacher des étoiles. Tes yeux feraient de l'ombre au étoiles."

"Merci"

Si c'était un compliment, autant le remercier à sa juste valeur. Il lui sourit et s'assit à son tour par terre tout en levant la tête por admirer la voûte étoilée. Un gros compliment même, certaines étoiles brillaient de milles feux. Un mouvement discret l'arracha au spectacle et il vit Tifa tenter de se lever, pour se rassoir aussitôt. Elle semblait distraite et tourmentée, enfin, quand il pensait tourmenté il voulait dire l'air ailleurs en pensant à quelque chose d'autre.

"Sirius je ... eu ... mince j'ai oublié ce que je voulais dire."

L'impression que c'était donnée le jeune homme sur Tifa revint au galop, elle avait voulu lui dire quoi ? Tant pis... il attendrait que sa mémoire lui revienne. Sur le coup, il s'allongea complètement dans l'herbe, son regard toujours posé sur les étoiles, avec toujours son petit sourire en coin. Tifa était une présence dont il ne se passait pas, au contraire, il aimait bien être en sa compagnie, et puis... vu comment elle allignait des mots, autant dire qu'elle l'amusait.

"Et toi que fais tu ici ?"

Il haussa les épaules, qu'est-ce qu'il faisait ici ? Bonne question. Et bien, en fait, c'était très simple, mais vraiment très simple. Une simple escapade nocturne avec les maraudeurs, rendez-vous ici parce que Sirius n'était pas avec eux l'heure précédente (aller deviner ce qu'il faisait) et donc... normalement... ils devraient tous être ici : Lunard, Queudver et Cornedrue, mais non, biensûr ils ne sont pas là. Aller savoir où ils pouvaient se trouver. Il arrêta de penser, il sentait un regard pesé contre lui et il tourna lentement la tête pour rencontré les yeux chocolat de Tifa. Il lui sourit gentiment et répondit à sa question.

-Bah... c'est très simple euh... j'avais un rendez-vous avec des amis et apparemment ils m'ont posés un lapin. (U_U) Tant pis pour ce que tu voulais me dire tout à l'heure, je vais devoir attendre que ta mémoire te revienne.

Oh disons que pour que la mémoire lui revienne il lui fallait de la chance et un peu beaucoup de courage...
Elle inspira plusieurs fois lentement. Son cœur commença alors a battre a 200 pulsation minute.

- ben disons que ce que je voulais dire est assez compliquer...

Elle regarda le ciel et pria intérieurement pour que cet instant passe très rapidement. Elle regarda sirius et instinctivement lui pris la main.

- Sirius je ...

non c'était trop compliquer de cette façon là... Autant y aller franchement. Très rapidement Tifa lâcha la main de Sirius et se pencha vers lui a la même vitesse pour ne pas qu'il ai le temps de comprendre ce qu'elle faisait.
La belle pousouffle posa ses lèvre chaude, douce et pulpeuse sur celle fruitée de Sirius... Elle se releva après sans regarder la tête que faisait Sirius.
Elle se releva saisit son balais et le regarda.

- je t'aime Sirius ... dit-elle avec une petite voie.

2 solution s'offrait a elle: -partir
- rester
Tifa choisit la 2ème... Après tout elle devait assumer ses actes. Elle vit décoller son balais a 1 mètre 50 du sol et s'assit dessus comme sur une chaise en attendant que Sirius réagisse.

Quand les lèvres pulpeuses de Tifa se posèrent sur les siennes, il cessa de respirer et clignât des yeux, ces derniers grand ouverts par la surprise. Comment aurait il put imaginer cela ? Tifa l'embrassant ! Et encore ! C'était elle qui s'était avancée contre lui, pas Sirius. Il voulu l'emprisonner dans une étreinte, il voulu que ce baiser dure encore un peu, il voulu la garder encore un peu contre lui. Mais cela ne se réalisa pas car lorsque ses bras se levèrent pour l'enlacer, elle se dégageât pour se relever et les bras du jeune homme retombèrent bredouilles le long de son corps. Il ne leva pas tout de suite les yeux vers elle, de crainte de rencontrer son regard brun. Au travers de leur embrassade, Tifa avait déversé son amour en Sirius, le lui faisant partagé. Elle lui avait ouvert les yeux sur quelque chose qu'il n'avait pas vu.

«Je t'aime Sirius...»

Il ne l'entendit pas, seul le baiser lui avait suffit, mais ces mots murmurés résonnèrent un moment dans le creux de son ventre. Enfin, il eut le courage de lever les yeux vers la Belle et de rencontrer ses yeux marron. Elle s'était assise sur son balais. D'un coup, il crut qu'elle allait partir, s'en aller et ne plus vouloir le regarder en face. Alors d'un geste rapide il saisit sa main et l'attira brusquement contre lui où il fourrageât son visage dans le cou de Tifa. Il s'était rendu compte que la présence de Tifa n'était jamais de trop pour lui, il ne s'en passait jamais. C'était peut être pour cela qu'il était resté avec elle jusqu'à ce qu'elle lui dise vraiment ce qui la taraudait.
Il embrassa le cou de celle qui lui avait ouvert les yeux sur son amour pour elle. Il resserra légèrement son étreinte et d'une de ses main valide, dégageât (mettre la mèche derrière l'oreille) le visage de Tifa comme à son habitude.

-Merci Tifa, tu m'as ouvert les yeux et je t'en remercie du fond du coeur. Merci...

Une fois que le visage de celle qu'il aimait fut claire à ses yeux il se pencha sur elle et l'embrassa un long moment avant de se retirer (le temps de respirer). Derechef (nan il te rembrasse pas) il la dévisageât, lui sourit et caressa du bout des doigts sa joue.

Tifa ne s'y attendait pas du tout. Elle pensait que Sirius allait partir, l'ignorer ou encore lui dire qu'il ne l'aimait pas. Puis se ne fut plus un cœur humain qui se mit a battre dans la poitrine de Tifa... c'était bien trop gros il sagissait d'un cœur de lion, son cœur de lionne. Elle regardait Sirius avec de grands yeux elle ouvrit légèrement la bouche tellement elle était étonnée. Un ronronnement monta de ses entrailles on aurait dit un chat légèrement en colère, mais quand on savait qu'elle était une animagus... lionne on pouvait reconnaitre un petit ronronnement pour cet animal massif. Tifa du se retenir pour rester humaine et que son instinct félin ne prenne pas le dessus. Elle devait garder son calme et ne pas se laisser avoir par la surprise que lui avait fait la réaction de Sirius.

- Je ne ...

Tifa rigola légèrement, passa une main chaleureuse sur la joue de Sirius

- je ne m'attendais pas du tout à ça...

Elle passa son doigt sur les douces lèvre de Sirius puis se mit sur la pointe des pieds pour pouvoir l'embrasser. Tifa fut alors prise d'une secousse... elle ne se contrôlait plus...
( eeee pourquoi le choipeaux l'a mis a pousouffle si elle sait même pas se contrôler ?)
Elle embrassa le cou de Sirius et ses dents se transformèrent en crocs puis elle se mit a grogner, ses ongles s'allongèrent pour faire place a des griffes aiguisée. Ses cheveux noirs s'éclaircirent et raccourcirent.
Elle mordit Sirius au cou a cause d'un excès de frayeur pour lui faire comprendre ce qui se passait, les griffes de ses pattes avants se plantèrent rapidement et sauvagement dans le haut du dos de Sirius.
Les yeux de Tifa s'éclaircirent brutalement et elle se couvrit de poils et son poids augmenta brutalement et tout son visage se métamorphosa rapidement. Sirius s'écroula sous le poids de la lionne. Les blessures faites par les griffes et les crocs de Tifa était très profonde.
Elle réussit a se contrôler rapidement et s'écarta du corps de sirius, il saignait abondamment et Tifa voyant ça fit appelle a toute sa force pour redevenir elle même.
Elle courut vers Sirius et sagnouya vers lui elle avait déjà feuilleter quelques livre sur les sortilèges in formuler elle se concentra sur les blessures de Sirius. Elle réussit a faire jaillir de sa baguette une lumière jaune de sa baguette. Les blessures de Sirius se refermèrent un peut mais il restait tout de même des égratignure bien marquée. Elle passa sa main droite dans les cheveux foncés de Sirius. Les larmes de la belle coulèrent rapidement sur le joues de Tifa et attèrirent toutes sur le beau visage de Sirius.

- Sirius !!!!!!!!!!!!!!

Tifa ne se souvenait plus que du prénom du garçon qu'elle aimait. Il respirait encore ce qui rassurait Tifa mais elle s'en voulait. Elle prit la main de Sirius et l'embrassa sur la joue.
Si d'ici quelques minutes il ne disait pas un mot Tifa l'emmènerait a l'infirmerie par la voie la plus rapide... La voie des airs. [b]

Tifa n'en revenait pas, il n'avait donc pas de souvenir de son attaque ? Il ne lui en voulait pas.

- je t'ai attaquer Sirius, je suis impardonnable tu dois sans doute te rappeler que je suis une animagus. Je n'ai pas supporter ce genre de choc émotionnel et je me suis transformer. Je t'ai mordu et griffer. On aurait dit que je devenait folle... en vérité c'est ce que je suis... Une folle qui est tombée amoureuse. Je m'en veut atrocement.

Elle dégageât sa main de celle de Sirius et l'aida a se redresser. Pauvre garçon...

- Tu dois sans doute m'en vouloir. Ce qui est logique, j'aurais pus te tuer.

Elle pris sa baguette et l'examina.

- cette baguette est bien puissante, trop puissante pour une sorcière aussi idiote que moi.

la pointe de la baguette était brillante et reflétait les étoiles. Elle la rangeât dans sa cape.

- si tu veux partir par, mais fait attention... a moi. Plus tard pourra tu dire au professeur macgonagal que j'ai besoins de la voir... comme elle dirige ta maison ça pourra m'aider.

Tifa en eu facilement mare, " je t'aime tu peut me tuer m'en fou" o la la quel boulet quand il s'y met celui-là.

- Sirius ! Je risque de te tuer ! mais non ça monsieur black pas comprendre !!!

Tifa se dégagea en deux temps trois mouvement des l'étreinte de Sirius.

- Tu ne sais même pas de quel coter je me trouve, et vu ce qui se passe en ce moment... rejoindre le clan de voldemort et peut être le seul moyen de rester en vie.

Sirius aussi en eut marre de ses "attention Sirius, je vais te tuer !!!" au bout d'un moment et ses poings se refermèrent sur eux même, allant jusqu'à griffer la paume de ses mains. Une de ses mains alors se délia et empoigna fermement le poignet de Tifa avec une force brute, comme pour l'empêcher de s'enfuir;

-Je m'en fiche royalement de mourrir ! Même de ta main ! Tu comprends ?! Et moi vivant tu n'iras pas rejoindre cet assassin de mollusque !

[je finirais plus tard, mais tu peux répondre, il ne dit que ça de toute façon]

Tifa eu un tic. Comment Sirius avait appeller le seigneur des ténèbres ? A travers sa manche Tifa se frotta l'avant bras droit tout en fixant Sirius.

- Sirius tu risque ta vie a chaque seconde... mais si tu t'en fiche je ne peut rien pour toi.

Tifa regarda aussi le ciel sombre comme si elle s'attendait à voir apparaitre quelque chose... Eule peut être ou sans doute pas.

Il y a quelques secondes tifa ce serait blotit dans les bras de sirius la elle reculait en fortant machinalement son avant bras

(s'il te plaît Tifa, tu peux pas le faire arriver comme ça en claquant des doigts d'accord ? Je sais, il n'est pas là, peut être que tu ne voulais pas qu'il vienne mais ta réponse est insistante là dessus. Déjà de un, il peut pas rentrer >< Aloreuh Zut XD)

Sirius ferma les yeux, comme pour s'empêcher d'exploser et de tout détruire en quelques mots. Apparemment, elle ne comprenait pas et cela devenait de plus en plus énervant. Ses cheveux noirs s'éparpillèrent sur son visage, cachant à moitié l'iris grise de ses yeux. Cette fois-ci, il ne chercha pas en s'en dégager, ce qu'il cherchait c'était seulement caresser Tifa d'un regard meurtrier. Cela arriva et la jeune fille sursauta. Enfin, elle avait surtout l'air beaucoup plus préoccupée par le ciel que par Sirius. Ce dernier finit par ne plus espérer, laissant de côté tout ça pour laisser un peu de place pour la haine. Il relâcha la prise qu'il avait sur son poignet et la laissa tombé avec dédain. Il se leva, pivota vers la Poufsouffle et la regarda, son regard la transperçant, essayant désespérément de trouver la cause de ce recul. Il n'y trouve rien, seulement cette étrange peur qu'elle développait lorsqu'elle semblait arracher un quelconque secret au ciel qui s'assombrissait. Qu'attendait-elle comme ça ? Et c'était quoi cette manie à se frotter l'avant-bras comme si elle en dépendait ? Cette nouvelle petite découverte le laissa le marbre. Il songea à quelque chose, il repensa aux paroles qu'elle avait lâché comme ça, sans réfléchir : « ce qui est logique, j'aurais pus te tuer »; « Si tu veux partir, pars, mais fait attention... à moi. »; « Sirius ! Je risque de te tuer ! »; « rejoindre le clan de Voldemort est peut être le seul moyen de rester en vie... ».... « Sirius, tu risques ta vie à chaque instants ». Risquer sa vie ? Lui ? Ah, c'est bien nouveau ça.

Sirius rouvrit les yeux, étonné de découvrir son corps tendu comme un arc. Il se força à se détendre, essayant de montrer à Tifa qu'il était particulièrement à l'aise sur la conversation. En fait, ça n'était pas le cas. Dans sa tête c'était la tempête. Une telle avalanche de pensées qu'il en resta pétrifié, jamais il ne s'était sentit ainsi. L'amour ? Où le sentiment de se faire poignardé dans le dos ? Peut-être que ces deux sentiments n'en formait qu'un seul et unique. Amour. Tout court. Tout simple. Mais encore, Sirius n'en était pas sûr. Il avait déjà vécut ce genre de « phase » mais ce n'avait jamais été aussi violent, ravageur. Il n'avait donc aucune expérience dans ce domaine et était à court de mots, à court de pensées. Il ne savait pas quoi faire. Ce qu'il savait faire, fixé la 'délicate' silhouette de Tifa, regarder danser ses longs cheveux noirs, regarder l'éclat de ses yeux chocolat, regarder la blancheur de sa peau. Il ne savait que regarder, que fixer. Il ne savait que se perdre dans ses yeux et se faire percuter par un mur. Vous savez, ce genre de mur que l'on veut franchir mais que cela est impossible. Le mur du doute.

Il ne sut faire qu'une chose : tourner les talons en ayant pris le soin de jeter un dernier regarder pensif à Tifa et commencer à rejoindre le château. Chaque pas lui était un poignard enfoncé dans son coeur, il aurait bien voulu s'expliquer à Tifa, lui dire pourquoi il fuyait, pourquoi était il déçu. Il aurait bien voulu lui dire. Mais voilà, ce n'est pas si facile d'expliquer ses peines d'amour à celle qu'on aime, qu'on a aimé et qu'on aimera. Pas si facile. Essayez un jour vous verrez, alors seulement vous comprendrez ce sentiment qui torturait le Griffy. Chaque pas, oui chaque pas agrandissait l'ombre qui pesait sur ses épaules. Ça pesait une ombre ! Très lourd, oui très très lourd... imaginez le poids de vos regrets qui se balancent sur vos épaules comme au bout des cordes d'une balançoire. Vous tomberez, tomberez comme la feuille morte qui s'envole pour quitter son arbre. Puis, la douleur, quand la feuille est ramassée par la main potelée d'un petit enfant pour être ensuite foutue à la poubelle comme on le lui a si bien appris ! Sinon, si ce n'est pas ça. Il vous placera dans un grand livre, vous épinglera par les épaules sur les pages moisies. Et il vous oubliera, en pensant que vous avez perdu vous couleur si belle que vous aviez lorsqu'il vous avait pris pour la toute première fois encore malade d'un chagrin d'amour et qu'il avait pensé pouvoir vous guérir..

Tifa serra les points, elle poussa un petit grognement enrager. Ses yeux chocolats, généralement fondent et luisants devinrent ternes.

- Sirius !!! Ne fais pas un pas de plus.

Sirius continua a avancer.... Soit ils ne l'avait pas entendu soit il l'ignorait.
Tifa plongea sa main dans sa poche. La pointe de diamant de sa baguette se mit a luire dans la nuit.
Elle pointa sa baguette sur Sirius et son sortilège frappa... De sa baguette sortit une lumière rouge caractéristique des Imobilus Totalus.
Sirius était réduit a l'état de Statue. Elle se dirigea lentement vers le garçon de "marbre".
- Finit' ! finit par dire Tifa en pointant sa baguette sur Sirius.
Elle s'approcha doucement vers le garçon enfin libre de ses mouvement et lui chuchota:

- j'ai horeur que l'on me tourne le dos sans dire aurevoir.... Alors pourquoi tu part ?

Il la regarda, fatigué. Lui qui était aussi actif à longueur de journée était, fatigué. Et fatigué de quoi au juste ? Je vais vous expliquer. Quand, d'un regard on essaye de dire à celle qu'on aime que justement, jamais on ne la laissera tomber, que jamais elle ne sera seule, que jamais tous les bras de la terre ne voudrons plus l'étreindre, que jamais elle ne sombrera, que vous serez toujours là pour elle. Et qu'elle ne comprends pas. C'est énervant ou fatiguant. Et bien pour le jeune Black, c'est fatiguant.
Un léger sourire lui échapa, elle était belle sa Tifa quand elle s'énervait. ca faisait ressortir une sorte de couleur orange dans ses yeux. Un orange un peu "animal", un orange qui rapellait à celui qui le regarde que Tifa est un animagus. Une lionne plus précisément. Jolie fille, jolie lionne. En fait, seul sa forme féline savait révêler le vrai caractère de Tifa. Un caractère violent, tueur et rusé. Sirius n'en doutait pas un instant, vu l'état de la Poufsouffle à cet instant même. N'imaginez même pas le regard affamé qui peait sur lui, affamé de cette future réponse. Elle la voulait sa réponse ! Elle ne l'aura pas. Du moins pour l'instant. Il ne voulait pas, il ne lui dira pas. C'était tout aussi bête ! Oui... bête. C'était bête de faire ça. Bête et Egoïste ! Complètement idiot... Sirius baissa la tête, légèrement honteux de son acte qui avait duré plus de 15 minutes. 15 minutes où Tifa attendit sa réponse. 15 minutes c'est long, 15 minutes ça agace... Il redressa brutalement la visage et défia le regard glacial de celle qui a aimé et qu'il aimera... un certain temps.

_Pourquoi je suis partit ? Ricana t-il. Devine ! J'en ai assez de tes sous-entendus médiocres ! Apparemment tu en as rien à faire de ce que je te dit, tu veux rien comprendre ! Tu veux même pas savoir que tu n'es pas toute seule, que tu as quelqu'un à côté de toi et qui... non, qui risque plus de t'aimer longtemps. Je sais ! Un sentiment ne peux s'envoler sans blessures quelconque. Alors je souffrirais, mais je ne veux plus aimer ta partie qui, d'une certaine manière, ment à chaque instants. Et pour boucler l'affaire, je ne suis pas désolé.

Sirius recula, mettant de plus en plus de distance entre Tifa et lui. Il avait tout dit, il ne reviendrait pas sur ses mots. Tout d'abords parce que ça lui fairait mal et ensuite parce qu'il ne voulait pas. Il ne voulait pas revenir sur des mots vrais. Il pivota légèrement, et se remit dans la direction qu'il avait voulu suivre avant que Tifa ne l'arrête. Il reprit sa marche tranquille, ni la tête basse, ni la tête haute. Les deux à la fois. Il ne s'en voulait pas, il ne souffrait pas (pas pour l'instant), il ne voulait pas lui hurler des "désolé, pardon", il ne voulait pas courrir vers elle pour l'étreindre, il ne voulait pas faire tout ça. Ah si, il voulait faire un truc, qui lui permettrait biensûr de pouvoir continuer sa route sans rencontrer un obstacle. Il pivote de nouveau. Lève la main. Crie.

_AU REVOIR TIFA !

Sirius lui tourna derechef le dos, cette fois-ci il ne s'arrêtera plus. Il continuera sa route, même avec sorts, Tifa, coups à sa poursuite. Il marchera avec son chagrin.

Tifa n'en revenait pas... Elle pensait que se séparer de Sirius le plus rapidement possible ne lui ferait pas mal du tout, la soulagerais.... En fait pas du tout. ça lyi fit même très mal. Les larmes se mirent a couler sur ses joues pâles.
Elle courut dèrière Sirius et une fois qu'elle fit a sa hauteur elle ne sut que faire. "Sirius" Murmura-t-elle en étouffant un sanglot.

- Désoler !! Je te signal que vus ce que je suis... et je préfère pas te dire ce que je suis... Il est dur d'aimer, car on ne sait pas si l'on vas faire mal au l'être aimé.

Tifa sur les genoux, mit ses mains sur ses yeux remplis de larmes.

Il baissa ses yeux gris sur elle et ne pus retenir un soupir. Il ne s'en voulait guère de faire cela mais en même temps... la voir dans cet état le mettais dans une sorte de transe. Il ne pouvait la voir ainsi, en pleurs. Il tendit un bras vers elle, s'accroupit à sa hauteur et fit glisser ses doigts entre les mèches de cheveux noirs. En une simple caresse pourtant révélatrice. Il s'était bel et bien épris de la jolie brune. Sirius s'approcha encore un peu, jusqu'à la frôler, jusqu'à ce que son ombre enlace entièrement Tifa de sa noirceur. Il lui caressa la joue. Tendrement. Il avait eut raison en disant qu'il ne la laisserait jamais seule, ou qu'il ''l'abandonnerait''. En fait... il avait horreur des filles qui, dès que l'on s'éloigne d'elle de 4 centimètres s'écrient : «Ah bah ça y est ! Tu m'aimes plus ou quoi ?! Reviens-là !» . Tifa avait quand même une de cette partie-ci de la gente féminine, sauf que, elle, elle vous courrait après et se laissait tomber à genoux pour pleurer. Il y avait quand même une certaine différence. Sirius approcha son visage et embrassa doucement la jeune fille sur la joue, l'incitant à se calmer et cesser de pleurer. Cela lui mettrait le cafard rapidement si elle n'arrêterait pas. Il recula un peu pour parvenir à apercevoir le visage de la Poufsouffle sous cet amas de chevelure brune et décida plutôt de retirer les mèches qui ombrageaient son visage de marbre. Il commença donc son précieux travail, ses doigts agrippant et se saisissant de chacune des mèches qu'il avait choisit pour cible et les ramenant en délicatesse derrière son oreille.

-Tifa... bien sûr que j'accepte tes excuses, je les accepterais toujours et je t'accepterais toujours mais comme tu dis, il est dur d'aimer... Je n'ai pas envie que tu me le dises, déjà parce que je pense avoir deviné et ensuite parce que, si cela sort de ta bouche je pense que cela te feras encore souffrir. Et je n'en ai pas envie.

Il sourit gentiment et l'aida à se relever. Il l'épousseta doucement en lui tenant une main, si jamais il lui venait à l'idée de s'écrouler par terre, une main tendu à la main avec ce gémissement : ''au ciel, je m'évanouis!''. Sirius ricana intérieurement. Vous n'avez jamais vu ces films moldus qui relatent des histoires d'amours bidon ? Ah, ah ! Lui ça le faisait rire. Enfin... cela dépendait desquels tout de même... Que faisais une histoire d'amour à la moldue dans son histoire à lui ? Ah oui... parce qu'il en vivait une... Une qui aurait pus paraître dans un film, comme tant d'autre, comme celle de ceux qui s'embrassent en cachette. Oui mais la sienne n'était qu'à lui, elle lui appartenait et jamais, non jamais il permettrais à quelqu'un de la visionner au monde entier. Jamais. Regardez, dans les yeux chocolats qu'il fixait, il y avait tout. De l'amour, de la haine, du chagrin, son propre reflet. Et puis il avait elle.

-Tu ferais mieux de rentrer au château, et puis je sais pas moi, aller dormir. On verras tout ça demain, mais il vaudrait mieux que tu ailles dormir là non ? Histoire de te reposer un peu...

Tifa lui sourit, elle venait de faire une belle bêtise, avait pèter un petit plomb. Comment avait-elle pus 5 seconde croire que voldemort pourait être une bonne solution. Elle pris Sirius dans ses bras et quelques larmes coulèrent sur ses joues. Elle recula sa tête lentement, se mit sur la pointe des pieds, planta son regard bruns dans les beau yeux luisants de Sirius. " je t'aime, désoler, et je ne te laisserais jamais tombé". Elle se ravensa doucement et posa ses lèvres douce et pulpeuse sur les lèvre tout aussi douce, délicate et au petit gout de fruit des bois de sirius. Elle passa sa main dans ses cheveux, recula quelque peut mais resta tout de même a quelques centimètre de ses lèvres.

- dis moi de faire ce que tu veux et je le ferais... murmura telle d'une voie mielleuse.

Son corps frémit au doux contact de sa peau contre celle, fraîche et étincelante de pureté, de la jeune fille. Si fraiche que, dans une rafale dévastatrice, elle balaya les ombres des pensées du Gryffondor. Elle écarta les idées perverses, toutes les douleurs, tous les regrets. Pour ne laisser d'existant que cette étreinte qui illuminait une Voie pour le jeune Black. La Voie de l'amour, brûlante d'une soif de désir et avide de patience. La patience à laquelle il devra obéir, le désir de toujours rester ainsi étreint. De toujours ressentir ce sentiment déferler dans son corps avec cette même clarté. De toujours pouvoir caresser le corps de Tifa, apprendre par coeur la pureté de ses formes ; effleurer à jamais son visage ; retirer les larmes d'étoiles qui couleront sur ses joues qui à jamais se plisseront pour un sourire qui le laissera tomber dans un néant de sentiments. Patience entrera alors dans cette danse aux pas de velours. Elle apprendre au deux amants que le temps n'est qu'un rythme sur lequel ils devront se calquer, apprendre à vivre avec lui pour ne plus jamais avoir à le maudire lorsqu'il les dépassera. Tout cet univers ne fera plus qu'un avec ses éléments.

Les larmes d'étoiles se mirent à couler sur les joues de la Poufsouffle, première d'une longue lignée qui sera digne d'elle. Il les regarda, les admira. Elles étaient si belles ces larmes, éclatantes de milles et unes lumières qui embellissaient son visage. C'est pour cela qu'il se retint de les effacer. On ne pouvait retirer d'aussi resplendissantes perles de pluie. Elle se mit sur la pointe des pieds, Sirius admira son regard. Il avait été imprégné des larmes, le rendant piqueté de lueur aux différentes teintes. Tifa parla, il n'écouta pas. Ou plutôt, ne les entendit pas. Il regarda chaque petite lueur, leur attribuant à chacune d'elle une partie de son amour qu'il avait pour Tifa. Ce furent les lèvres de la jeune fille qui eurent don de le retirer de sa paisible rêverie. Ce furent elles qui les lièrent encore plus, celles qui ordonnèrent à Sirius de les aimer. Il ne put s'empêcher de refermer ses bras sur les hanches, rapprocher Tifa de lui. Mêler passion et désir dans un parfait équilibre qu'il se résigna quelque peu à la relâcher lorsqu'elle recula, ses mains encore liées avec les folles mèches noires des cheveux de Sirius.

-Dis moi de faire ce que tu veux et je le ferais.

Il eut un petit sourire à cette phrase. Non il ne lui demanderait rien car elle lui donnait déjà tout. Elle lui offrait déjà le plaisir de toucher sa peau, le bonheur que lui procurait sa présence, au creux de ses bras. Elle s'était adonnée à lui, peut-être pour un instant qui serait à ses yeux trop court, mais jamais il ne l'aimerai autant. Elle lui offrait un amour, et cela comblait à la perfection tout les désirs qui le poussait vers elle. Ce fut à son tour de faire passer ses doigts dans la longue chevelure de jais de Tifa, il les caressa un moment, rêvassant du visage de la jeune fille. Il la vit aussitôt, parée d'une robe de bal, ajustée parfaitement à ses courbes particulièrement attirantes, mettant en valeur la beauté de sa peau blanche et l'éclat de son regard. Sirius caressa d'un coup d'œil ce dernier et sa main quitta les doux cheveux noirs pour rejoindre sa taille. Il la voyait bien, danser au milieux d'une foule immense. Et pour lui, elle serait la seule à resplendir comme elle le faisait à l'instant devant lui. Il se pencha, sa joue vint frôler celle de la Poufsouffle, en caresse. Un baiser alla alors à la rencontre de cet effleurement. Il ne savait même pas si elle allait accepter sa demande, mais après tout, elle l'avait dit quelques minutes plus tôt : elle ferait tout ce qu'il lui demanderait.

-Et bien, je souhaiterais que tu m'accompagnes au Bal de Noël, cela te conviens ?

Il caressa sa joue, comme pour effacer doucement l'empreinte du baiser qu'il lui avait donné. Il ne savait pas trop. Il ne savait pas si elle avait un tempérament à jouer les princesses danseuses dans une salle pleine à craquer. Il ne la voyait encore moins se tenir avec noblesse, maitrisant chacun de ses pas au millimètres près sans regarder une seule fois ses pieds, histoire de ne pas se les emmêlés. Cette image d'elle le fit sourire intérieurement et il ne put le dissimuler, ses lèvres s'étirèrent, ses joues se plissèrent en un sourire mutin. Alors que Sirius lui, s'imaginait toute les façons possibles qu'il utiliserait pour la traîner sur une piste de danse, la Poufsouffle ne donnait toujours pas de réponses. Dans tous les cas, Sirius n'aurait pas de plus grand plaisir à pouvoir partager du temps avec la jeune fille, autant que ce soit dans une Grande Salle à tourbillonner au rythme d'une mélodie que dans une balade au clair de lune.

Tifa eu un grand sourire. Sirius pausait de ces questions... biens sur qu'elle voulait bien y aller avec lui. Elle recula quelque peut. Soirée voulait dire plusieurs chose que Tifa n'était pas sur de pouvoir acceptée cependant : - dance
- Robe
- coiffure soignée
- et slow
oula Tifa allait devoirs donné du sien pour faire plaisir a Sirius. Elle ne possédait que quelque petite chose qui pourraient lui allé lors de cette soirée, et elle devait tout de même évitée de pointée le bout de son nez en jeans basquette.

- Bien sur que je veut y aller avec toi Sirius. Pourquoi dirais-je non ? Franchement ?

Elle se rapprocha de lui et baya. Hey bien, c'est qu'elle commençait a être épuisée la jeune fille. Bon... Pas grave...

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Désolé point d'idée