Fin d'après midi près du lac. [pv régulus]

Yumiko venait de finir a journée de cour, elle avait besoin de prendre l'air. Elle avait parfois du mal a supporter d'être comme prisonnière de ses livres de cour, elle pouvait aussi sécher mais il s'agissait
d'une question d'honneur... Elle ne DEVAIT PAS faire perdre de points a sa maison. C'était tout bonnement inconcevable. Elle avait donc courut jusque dans le dortoirs des serpentards, avait jeté ses affaires scolaires et sa cape de sorcière sur son lit, ne gardant dans la poche de son pantalon en toile noir que sa baguette en bois de rose. Elle sortit et arriva dans le hall, elle s'arrêta devant la grande porte et se demanda ce que l'architecte avait dans la tête quand il a conçut cette porte. Elle poussa l'énorme porte et sortit, elle sauta les marches. Le vent était présent, mais il était beaucoup moins froid que les semaines passés. Elle traversa le parc rapidement et se dirigeait vers le lac. Le vent sur son visage lui faisait le plus grand bien. Elle arriva près de la rive et regarda l'eau sombre. Comme elle, le lac était un mystère, personne ne savait vraiment ce qu'il refermait. Certain émétaient des hypothèse mais personne n'était aller les vérifier. Sans doute que c'était mieux ainsi, tant que le mystère était préservé le lac n'était pas vraiment effrayant. Elle regarda son reflet dans l'eau sombre, elle se demandait ce quelle faisait là... Pas là a cet endroit mais là dans ce monde magique. Mais c'était aussi un mystère qui ne valait pas le coup d'être élucider. Elle recula et s'adossa a un arbre, elle se laissa glisser le long du tronc jusqu'à se retrouvé assise. Que sa lui faisait du bien l'air frais. Elle entendit un tout petit bruit elle tourna la tête et vit une personne a laquelle elle tenait beaucoup arrivé vers elle. Elle se releva rapidement et regarda cette personne.

- Salut, Régulus... Tu vas biens ?

Regulus se trouvait dans la salle commune des Serpentard et s’ennuyait à mourir. Même si la cloche sonnant la fin des cours avait retenti il y a seulement quelques minutes, cela faisait déjà deux longues heures que le jeune Black était affalé dans le sofa, n’ayant aucun cours à cette heure-ci. Cela l’exaspérait. Chaque semaine, au même instant, il attendait avec une certaine impatience qu’elle résonne dans tout le collège pour ne serait-ce que pouvoir parler cinq minutes avec un de ses amis ou camarades de dortoir et par-dessus tout qu’apercevoir sa belle. Yumiko... Regulus était heureux dès qu’il la voyait. Celui lui arrivait souvent en ce moment de rester des heures à contempler le feu verdoyant de l’âtre de la salle commune, pensant à sa petite amie si gentille mais cependant extravagante. Le Vert & Argent ne se posait aucune question sur l’ampleur des sentiments qui l’habitait depuis qu’il fréquentait Yumiko.
Plongé dans le canapé, se rendant par la même occasion invisible aux yeux des autres, il entendit la porte s’ouvrir pour laisser échapper une personne qui semblait courir pour échapper au diable tellement son ombre resta si peu longtemps à la vue de Regulus. Mais assez longtemps pour qu’il puisse entrevoir la longue chevelure de type asiatique s’engager comme une furie dans les escaliers et en descendre aussi vite et aussi sec, débarrassée de ses encombrants livres de cours. Regulus souriait, la tête adossée contre le bras du fauteuil, alors qu’elle ressortait, passant devant lui sans lui lancer un seul regard. C’était pour cela que le cadet des Black aimait la jeune japonaise. Pour toutes ces petites mimiques et manies qu’elle faisait consciemment ou inconsciemment d’ailleurs. Maintenant qu’il l’avait vue, il ne comptait pas partir comme ça. Il se leva précipitamment, ordonna ses affaires en une petite pile bien rangée et attrapa sa cape plutôt onéreuse en passant, pendue au portemanteau fait de nombreuses petites verroteries.

Sa belle avançait très vite. Regulus commençait à croire que le dieu de l’enfer la poursuivait réellement. Elle se pencha au dessus du lac et il se sentit mal, de peur qu’elle fasse une bêtise et pressa le pas. Cependant, alors qu’il se rapprochait de l’endroit où elle se trouvait, elle se redressa et s’adossa contre un arbre. Elle dut l’entendre arriver puisqu’elle se leva 10 secondes plus tard. Regulus sourit comme jamais lorsqu'il entendit le son mélodieux de sa voix.

- Merveilleusement mieux depuis que tu m’honores de ta délicieuse présence ...

Il n’hésita pas un instant de plus et se jeta dans le réconfort de ses bras humant avec délicatesse son odeur délectable. Elle lui avait manqué. Chaque moment loin d'elle était un réel supplice.

Quand elle avait reconnu le seul être qu'elle aimer le coeur de Yumiko c'était mis a battre 3 fois plus vite que d'ordinaire. Il était la première personne qu'elle ai croisé a poudlard et ben, elle était tombée amoureuse de lui bien que ce ne soit pas son genre de tombé amoureuse du premier venu. Mais quelque chose en elle lui avait dit qu'elle pouvait faire confiance au jeune Black. Ce qu'elle avait fait, presque trop rapidement car il savait qu'elle était marqué.
Le beau garçon de sa maison apparaissait presque toujours devant ses yeux dès qu'elle voyait le blason vert et argent de Serpentard, soit très très souvent.

- Merveilleusement mieux depuis que tu m’honores de ta délicieuse présence ...

Au contact de Régulus elle ressentit une décharge électrique, comme si elle avait mis les doigts dans une prise électrique avec la main mouillée jusqu'au os. Le contact de Régulus était si intense que son souffle fut coupé. Elle passa les bras autour du cou de Régulus et posa ses lèvres sur celle de Régulus. Elle se blottit dans les bras de Régulus, elle n'avait pas froid mais elle était bien dans ses bras.

- je vois que je ne suis pas la seule a aimer prendre l'air... je me trompe ?

Regulus était fou. Oui. Fou d’elle. Elle n’avait pourtant rien de très exceptionnelle. C’était juste elle. Sa Belle. Trop de sentiments le submergeaient, et il n’arrivait juste plus à les contrôler. C’était beaucoup pour un simple et noble Sang-Pur. Il n’avait jamais été habitué à cela dans son enfance. Ses parents le préféraient à son aîné il était vrai, étant donné qu’il partageait leurs idéaux, mais jamais, ô dieu jamais, ils n’avaient manifesté envers lui une seule marque d’attention & d’affection. Et c’était ce manque d’inclination qui lui faisait tant aimé la jolie japonaise. Elle, s’occupait de lui et l’aimait autant qu’il l’aimait. Du moins, il l’espérait de tout cœur. Car lui, il était sur, était amoureux.
Régulus sentit comme un léger tremblement, une petite décharge qui parcourut le corps de Yumiko. Regulus eut comme un petit rire nerveux. Il était comme cela lui aussi. A trembler dès qu’elle était toute proche de lui. C’était comme son petit soleil, qui illuminait son cœur & son âme déjà bien noircie par le seigneur des Ténèbres.

Regulus frémit rien qu’en sentant le corps de sa belle contre le sien, ses bras autour de son cou, ses lèvres contre les siennes.

- Je vois que je ne suis pas la seule a aimer prendre l'air... je me trompe ?

Regulus ricana, et enfouit sa tête dans les cheveux de la jeune fille, humant sa délicate odeur qui lui manquait à chaque instant. Chaque instant de sa journée paraissait une éternité sans elle, sans sa vois, ses mains, son parfum, sa bouche, ses lèvres, ses bras ...

- A la base, je n’étais pas sensé sortir ce soir, mais une certaine personne ayant décidé tout autrement, je me suis résolu à la suivre dehors ... On ne sait jamais ce qui pourrait arriver à une si jolie fille par ici ...

Regulus n’était pas jaloux, cela non. C’était juste qu’il ne partageait pas. Pour lui c’était différent. Yumiko était loin de lui appartenir, elle n’était pas sa propriété, mais le cadet des Black ne supportait pas qu’un autre garçon que lui l’approche.

-Et toi alors, que viens-tu faire par un froid pareil dehors ? Ce n’est pas très sérieux, tu risques d’attraper un gros rhume.

Se comportant comme un gentleman, Regulus enleva sa propre écharpe et la noua au tout du coup de sa petite amie, et lui sourit.

Tifa avait envie que le temps s'arrête. Resté a jamais en compagnie de Régulus serait sans doute la chose qu'elle demanderais si elle devait faire un choix. Yumika ne se lassait jamais de regarder les yeux couleurs argent de Régulus, il est vrai que le beau Black a un regard extraordinairement profond et insondable.
La japonaise leva des yeux étrangement ternes au ciel. Elle avait l'impression d'avoir encore six ans et d'entendre sa mère la sermonné car elle était dehors sans son petit blouson. Elle caressa de la main droite la douce écharpe du cadet des black. Avec un sourire au lèvres Yumi lui répondit :

- Je prend juste l'air, et il ne fait pas froid. Enfin je n'ai pas froid, tu es sur que ce n'est pas toi qui a attraper froid ?

Yumiko n'avait jamais vraiment ressentit le froid, et elle n'avais jamais vraiment apprécié la chaleur.Elle pencha la tête sur le coté et regarda la ténébreux jeune homme avec des yeux pétillants de mystère et une moue de petite fille. Elle se mit a joué avec l'écharpe, ses yeux fixant un point différent a chaque secondes.

Elle avait tant regretté...

Les remords la rongeait de temps a autre car elle n'était pas toujours très fière d'elle. Elle n'était pas fière d'avoir obscurcit son cœur. Mais dès qu'elle voyait Régulus elle se disait qu'elle avait très bien fait de rejoindre les rangs du seigneurs des ténèbres, et puis elle réalisait qu'elle ne risquait rien car au fond, mais alors au plus profond d'elle même elle espérait que Lord ne tenterait jamais rien de risqué, qu'il ne gouterais pas au pouvoir et par conséquent ne mettrait personne en danger. Car Yumi voulait bien tout faire pour contenter son maitre mais elle lui en voudrait pour toujours si il s'en prenait a Pourdlard, a sa famille, ses amis... Mais elle rejoindrais la lumière si il faisait risqué quoi que se soit a Régulus. La jeune brune leva la main et se frappa le front...
Qu'elle andouille, elle ne voyait déjà pas Régulus très souvent mais si en plus elle gâchait ce bon moment a passé avec de noirs pensées elle allait finir par déprimer.
Elle se rapprocha de lui et lui pris la main, a se contact son cœur loupa un battement et son rythme cardiaque accéléra de nouveau. Le fait d'être proche de Régulus allait finir par la tuer.

- Je peut savoir ce qu'il peut arrivé a une jolie fille comme moi ici ? Enfin je veut dire: Que peut-il arrivé de pire a une jeune fille jolie, ou pas que de resté plus d'une heure en cour ?

Regulus admirait toute la beauté naturelle de la jeune fille aux yeux bridés. Que pouvait-il attendre de plus d’elle ? Elle l’aimait, ou du moins, il l’espérait de toute son âme. Comment pouvait-on restait de marbre devant l’éclat de cette merveilleuse étoile, qui illuminait de toute sa fraîcheur la beauté insolente de la nuit, et le laissait ainsi pantois. C’était étrange de penser qu’une si petite chose, pouvait occuper une si grande place dans son cœur. Les yeux plongés dans ceux couleur chocolat de la japonaise, Regulus se noyait. Le plus agaçant pour lui, était que Yumiko adorait le sonder à travers l’éclat de ses prunelles argentées. Mais cela déstabilisait le jeune cadet des Black car il n’arrivait guère à se raccrocher au bord du gouffre qui s’ouvrait devant lorsque lui venait l’envie de le considérer de la sorte. Mais Soit. Tout ce qui faisait plaisir à sa belle, lui en faisait par la même occasion. Comme une sorte de procuration.

Regulus s’amusait de voir la jeune fille stupéfaite par son attitude paternel mais cependant soucieuse. Il était vrai qu’il ne voulait pas la voir clouer au lit, surtout maintenant. Alors qu’il mourrait d’envie de la voir, chaque jour, chaque heure, chaque minute, chaque seconde. Pour Lui, c’était un supplice d’être contraint d’attendre, le cœur lourd, que son amie veuille bien descendre de son dortoir, et lui faire l’honneur de sa présence délicieuse. Yumiko se permit de toucher son écharpe sans qu’il ne formule son approbation. Mais elle savait qu’il ne lui en voudrait pas justement parce que c’était elle. Une autre se serait vite fait sermonner et aurait souffert de se rude touché non autorisé.

-Moi ? Froid ? Laisse-moi rire, petite fille. Je suis un véritable feu de cheminée ambulant tu sais. Je tiens juste au confort que m’offre ce merveilleux manteau et cette écharpe succincte. Je craindrai plus pour toi.

Sa petite moue le rendait Gaga, comme un bébé rend son père idiot. Lorsqu’elle tenta de nouveau de plonger son regard de feu dans celui glacial de Regulus, celui-ci détourna jalousement la tête. Non pas qu’il n’en avait pas envie, c’était juste qu’il ne souhaitait pas qu’elle le voie encore si démuni, sans force, faible. Mais il sourit pour qu’elle ne s’inquiète de rien. Elle continua à tournicoter l’écharpe brodée main et très onéreuse, où trônait fièrement l’écusson des Black et sa devise « Toujours Pur », bien anxieuse et l’air ailleurs.

-Que t’a donc fait cette maudite écharpe pour que tu la tortures à ce point ?

Regulus ignorait ce dont Yumiko souffrait, mais ses pensées semblaient s’être transportés bien loin de leur innocente conversation.

- Si tu veux en parler tu sais bien que je suis là.

Bien entendu qu'elle le savait, mais seulement, le voulait-elle ?

[ Vraiment désolé du retard... Tellement occupé ces derniers temps ... ]

Yumi loucha sur l'écharpe avec laquelle elle était entrain de jouer. Elle ne savait pas pourquoi elle tournait cette pauvre écharpe innocente dans tous les sens. Elle stoppa alors son geste, elle devait avoir l'air légèrement idiote mais bon, elle avait toujours été une jeune enfant et jamais ça ne changerais. Elle était capable de s'amuser d'un rien et sa joie de vivre en exaspérait plus d'un.
La serpentard n'avait pas voulut quitter des yeux le visage de marbre de Régulus, un visage qui reflétait une certaine froideur pour qui conque ne connais pas la personne qui se cache derrière ce masque presque inexpressif Yumiko avait découvert un garçon en or. Quelqu'un d'extraordinairement tendre et qui était à ses yeux d'une beauté rarissime pratiquement irréel.

- Oups, je ne m'était même pas rendue compte que je lui faisait tant de mal.

Comme Régulus avait tourné la tête, Yumiko se remit face au yeux de perles auquel elle tenait tant. Le fait que le contact entre ses yeux et ceux de l'être qu'elle chérissait soit rompu l'avait secoué et elle n'osait pas le regarder de nouveau dans les yeux. En compensation elle se mit sur la pointe des pieds et déposa un baiser furtif sur la joue du grand black. Il s'inquiétait pour elle mais elle, elle s'inquiétait pour lui. Elle caressa la joue de Régulus et lui sourit, un petit sourire inquiet qui lui prouvait son inquiétude pour lui, bien que Yumi veuille éviter de lui montrer. Elle se rapprocha de lui un peut plus et remonta se main de la joue de Régulus à ses cheveux noirs de jet.

- Tu... Tu es sur que toi tu vas bien ? Je ne sais pas pourquoi mais je n'ai pas l'impression que tout aille pour le mieux.

Elle enleva sa main des cheveux noirs de Régulus et laissa son bras pendre mollement le longs de son corps.

- Ne t'inquiète pas pour moi je sais que tu es là si j'ai besoin de toi. Je n'en ai jamais douté.

Regulus s’en voulut d’avoir fait remarqué à son amie son petit affront car elle eut un mouvement très brusque en retirant sa main, et Regulus crut qu’elle l’avait mal pris. Il prit délicatement ses petites mains et les serra doucement contre ses propres paumes, puis approcha ses lèvres et déposa un tendre baiser sur celle-ci. Puis il lui sourit.

-Mais ce n’était guère un reproche, ne t’arrête pas à cela.

Regulus ne comprit pas l’intérêt qu’elle avait porté à son écharpe, mais peu importait. D’un geste calme, il ôta à son pauvre cou la seule chose qui le protégeait du froid, et l’offrit à sa belle. Il lui noua tout doucement autour de son joli cou, elle disait peut-être ne pas ressentir le vent frisquet qui les traversait, mais lui, ne voulait pas prendre le risque de la voir clouer à un lit de l’infirmerie, avec une méchante maladie.
Regulus ne saisit pas le sens de la phrase de la japonaise, et décida de passer outre. Même si le jeune cadet des Black avait détourné les yeux, Yumiko réussit à lui refaire perdre surface en se plongeant encore dans ses prunelles argentées. Mais il dut tout chamboulé lorsqu’elle sa joue reçut un doux baiser. Mais cela ne le satisfaisait pas. Il sentit les doigts de sa petite amie se perdre sans ses cheveux et Regulus se baissa pour lui donner un vrai baiser. Long & doux. Comme il les aimait. Ses lèvres douces le bouleversaient tellement. Il serra Yumi dans ses bras si fort. Il avait tellement peur parfois qu’elle s’en aille, qu’elle le laisse, qu’elle le quitte pour un autre. Plus beau, plus riche, plus intelligent que lui. Il était peut-être un Black, mais il n’en était pas moins un sacré froussard. Surtout en matière de filles où il était si peu sur de lui.

Après ce merveilleux baiser, Yumiko s’enquit de savoir comment il allait. Son impression féminine sûrement avait vu juste. En ce moment, il n’était plus certain de rien. Il fut touché qu’elle s’inquiète pour lui, mais lui, était un homme. Et un homme, cela ne confiait pas ses problèmes à une fille, fut-elle sa petite amie.

-Mais non, que vas-tu chercher là ? Tout va très bien.

Regulus savait parfaitement qu’il n’était pas très crédible, mais soit. Il ferait de son mieux pour cacher son malaise.

Quand Régulus pris ses mains dans les siennes et qu'il les sera la jeune japonaise crus qu'elle allait prendre feu sur place et quand il dépose un doux baiser sur ses petites lèvres... c'est de l'intérieur qu'elle se consuma.

- Mais ce n'était guère un reproche, ne t'arrête pas à cela.

Yumiko était comme droguée désormais, elle avait besoin de sa dose quotidienne de Régulus sous peine de se sentir mal... complètement seule et isolée. Mais elle ne restait pas collée a lui tout le temps -même si elle n'était pas contre- de peur qu'il se lasse d'elle, elle rêve presque d'être son ombre, pour pouvoir le suivre partout et en toute discrétion.
Elle connaissait parfaitement la réputation de beau gosse de Sirius, et elle savait qu'on s'intéressait moins a son petit ami qu'a son frère car il était plus réservé. Mais elle était tout de même effrayé par le fait que, peut être un jour, une autre fille se rapproche de lui...
Une fille plus belle, plus drôle et surtout plus intelligente... Une qui pourrait peut être prendre sa place. C'était égoïste de sa part mais elle n'y pouvait rien, elle était jalouse et possessive, c'était son défaut elle était faite comme ça et elle n'y pouvait rien, il était trop tard pour qu'elle change.
Le contact de l'écharpe sur sa peau était chaleureux, doux, réconfortant, près totalement rassurant. Après le petit bisou qu'elle avait déposé sur la joue du cadet de la famille black elle avait baladée ses doigts fins dans ses cheveux noirs, héritage de sa noble famille.
Elle vit alors le beau ténébreux se pencher vers elle, au moment où leurs lèvres se touchèrent elle faillit s'évanouir. Il allait finir par la tuer, sans le vouloir en plus

- Mais non, que vas tu chercher là tout vas très bien.

La jeune nagazakienne leva les yeux au ciel, si elle avait une capacité que son petit ami n'avait pas c'était celle de mentir... Enfin elle savait mentir mais quand il le fallait.
Ca se voyais, ça s'entendait que quelque chose occupais son esprit, et la japonais hésitait entre le forcer a lui dire ce qui se passait dans sa petite tête en ce moment ou le laisser garder son petit secret comme il le voulait. Elle eu peur un moment que ce soit quelque chose de dangereux ou d'important, elle était presque sur qu'il lui dirait si c'était le cas... ou du moins elle l'espérait tellement qu'elle s'en était presque totalement persuadée. Elle répondit elle même a son hésitation par un proverbe de son pays : "les mots que l'on a pas dis son les fleurs du silence" Elle voulait permettre a Régulus de garder son petit jardin secret rien qu'a lui mais voulait tout de même s'assurer d'une chose.

- Ce que je vais chercher là ? Je m'inquiète pour toi voila, et je m'inquièterais sans doute toujours pour toi, et ça rien n'y changera jamais... c'est ainsi. Je te préviens, même si je pense bien faire je peut être un véritable poison quand je tient a veiller sur quelqu'un. Peut être pire qu'un chewig-gum collé a une chaussure. Si quelque chose ne va pas une jour dis le moi, promis ?

Elle restait alors a le regarder, a se délecter de sa présence. Inconsciemment elle se rapprocha de lui, sans doute pour être sur qu'il était bien là, que ce n'étais pas un rêve et qu'il était bien présent à ses cotés une fois encore, une fois en plus qui est loin d'être une fois de trop

Regulus aimait cette fille. C’était peut-être fou. Peut-être que oui. Il était malade. Malade d’amour. C’était la première fois qu’il ressentait pareille attirance envers une fille. On ne pouvait pas dire que son enfance avait été des plus joyeuses. En effet, ses parents n’étaient pas ce qu’on pouvait qualifier de parents « aimants ». Eux, ne prenaient même pas la peine de leur dire bonjour le matin, non, cela aurait été trop d’honneur pour deux petits enfants qu’on devait de suite endurcir. Et oui, la vie était dure, c’était vrai, Regulus l’admettait. Mais on avait aussi besoin d’affection. Seulement, Sirius & lui, n’avaient jamais eu le droit aux histoires le soir lorsqu’ils étaient enfants, pas de sortie entre famille, ni dans un zoo, ni dans un parc, nulle part. Pas d’embrassade sur les genoux de Maman, pas d’escalade sur le dos de Papa. Pas d‘amour. Non, cela était proscrit. L`amour, c`était pour les faibles qu’il disait, leur père. Eux, des Sang-Purs, ne devait pas s’en occuper. L`amour était réservé aux autres, Sang-de-Bourbe & traîtres à leur sang, les pauvres, le peuple, la populasse. Car les Sang-Purs faisaient partie de la haute bourgeoisie, et ne devaient pas se mêler aux autres. Tels étaient les paroles de leurs parents. Regulus y croyait à tous cela. A leur race supérieure. Seulement, il différait de leur opinion en ce qui concernait l’amour. Il ne savait pas si Yumiko était de Sang-Pur, mais étant donné qu’elle avait été choisie par le Seigneur des Ténèbres, c’était bien plus que probable.

Rien que le fait de croiser son beau regard lui faisait tourner la tête. Ses yeux... Le cadet des Black aurait pu passer des années plongé dedans qu’il y trouverait encore des choses à admirer. Son amour s’étalait même sur des milliers des rouleaux de parchemins. Il pourrait écrire, écrire, écrire et écrire. Sans jamais s’arrêter, tellement il pouvait en dire long sur ce qu’il ressentait pour la jeune nagazakienne.

Il vit l’amour dans les yeux de Yumiko, lorsque celle-ci huma avec délicatesse & pudeur l’odeur de son écharpe. Regulus sourit tellement il en était heureux. Il le lui offrait volontiers. Bien sur, ses parents ne seraient certainement pas d’accord qu’il offre à sa petite amie l’écharpe symbolique des Black, où leur écusson était brodé à la main avec des fils d’or, mais lui, s’en fichait. Du moment que cela plaisait à la japonaise, le reste, il n’en avait que faire. !

Regulus avait deviné, au premier instant où il avait menti à sa belle, qu’elle le sentirait. Mais avait tout de même essayé. Mais, apparemment, c’était plutôt raté. Il était nul, il n’arrivait guère à mentir, lorsque ses sentiments étaient en jeux. Seulement, il était plutôt idiot de mentir à sa petite amie, mais il n’avait pas trop choisi. C’était ainsi.

- Ne t’inquiète pas ma Belle, il n’y a rien qui mérite que tu y prennes attention. Ce n’est rien du tout. Moi aussi je serais toujours là pour toi. Si tu as un quelconque soucis, n’hésite surtout pas mon amour. A n’importe quelle heure du jour et de la nuit, tu peux m’envoyer ton hibou, je te rejoindrai aussi vite que possible. Tu es si importante à mes yeux.

Délicatement, il prit la jeune fille dans ses bras, sentant son parfum, si désirable. Il l’aimait, elle l’aimait. Ils s’aimaient. Et c’étaient tout ce qui comptait. Cela ne voulait pas dire qu’il n’y aurait pas de moments difficiles,e t qu’il n’y en aura jamais, mais grâce à elle, il était devenu, un peu plus serein, elle l’avait rendu meilleur, malgré ses nombreux défauts, et même si tous deux appartenaient au Seigneur des Ténèbres. La première fois qu’il avait dit à ses amis à quel point il aimait Yumiko, beaucoup avaient pensé que cela ne marcherait pas entre eux, mais ce qu’aucun d’entre eux ne comprenaient, c’était qu’il l’aimait plus que tout. Et si ils avaient perçu ce qu’elle représentait pour lui, ils n’auraient pas eu l’ombre d’un doute.

Il se détacha doucement d’elle, et posa sa main sur sa joue.

- Yumiko, lorsque je te regarde mon amour ne fait que grandir, il est plus en plus fort, et il ne cessera jamais. Je te le promets. Je t’aimerai toujours & à jamais.

Yumiko ne se lassait jamais de le regarder, même quand lui ne la regardait pas, surtout dans ces moments d’absences. Quand il n’était pas vraiment avec elle tout en étant là en face d’elle. Quand il était plongé dans ses pensé…Yumiko ayant toujours été très curieuse voudrait bien pouvoir s’immiscer dans l’esprit de son petit ami, mais en même temps elle aimait ignorer des choses sur lui. Le connaitre par cœur n’aurait peut être pas été aussi drôle que ça après tout… Ces secrets lui permettait d’être surprise par moment, surprise par lui… en découvrir plus sur lui a chaque seconde sans jamais le connaitre d’avantage… imaginer ce a quoi il pensait aussi était plutôt distrayant. Mais un peut stupide. Elle se demandait même par moment pourquoi il l’aimait. Pourquoi le Destin – pour peut qu’il existe- avait mis un garçon comme lui sur son chemin. Le seule chose qui les avait reliés au moment de leur rencontre c’était la marque qu’il portaient tout deux sur l’avant bras.

Face au sourire de Regulus devant l’air stupide qu’elle devait avoir elle se sentit entièrement désarmée, la personne en qui elle avait la plus confiance, pour laquelle elle pourrait mourir était également celle qui pouvait la faire souffrir le plus. Il suffisait que quelques mots sorte de la bouche du garçon à la beauté magique pour qu’elle se sente mourir. Des mots qu’elle l’espérait ne serait jamais prononcer pouvait la pousser a de grandes folie… tellement grande qu’elle pourrait en mourir…

Mais pourtant de nouveau ses yeux sur le garçon qu’elle aimait et dont la vie importait plus pour elle que la sienne elle balaya cette idées de sa tête. Elle ne devait plus
penser au pire… plus jamais dans des moments qui pourraient être si joyeux.

- Ne t’inquiète pas ma Belle, il n’y a rien qui mérite que tu y prennes attention. Ce n’est rien du tout. Moi aussi je serais toujours là pour toi. Si tu as un quelconque souci, n’hésite surtout pas mon amour. A n’importe quelle heure du jour et de la nuit, tu peux m’envoyer ton hibou, je te rejoindrai aussi vite que possible. Tu es si importante à mes yeux.

Elle du retenir un soupir de soulagement… Mais elle se demandait vraiment pourquoi elle comptait tellement pour lui. Elle ne comprenait pas pourquoi elle était si importante pour lui. Elle n’était pourtant pas extraordinaire, elle était même plus que banale. Quand il la prit dans ses bras elle ferma les yeux, c’était si confortable de se pelotonner
contre lui comme un chaton entre deux oreilles, sa comparaison la fis sourire …elle
un chaton innocent ? Non jamais.

- Yumiko, lorsque je te regarde mon amour ne fait que grandir, il est plus en plus fort, et il ne cessera jamais. Je te le promets. Je t’aimerai toujours & à jamais.

La seule réponse qu’elle eu en tête fut un petit : ton amour pour moi ne sera jamais plus fort que celui que je te porte qu’elle murmura sans s’en rendre compte. Elle se dégagea de l’étreinte de Regulus et se mis sur la pointe des pieds et passa ses mains autour du cou du garçon pour l’embrasser comme jamais. Au bout de quelques secondes son cœur battait tellement vite qu’elle du se reprendre pour ne pas faire une crise cardiaque. Quand elle se décolla de lui ses yeux se portèrent sur la ligne d’horizon… Toujours proche de Regulus elle lui pris la main se concentrant sur chaque secondes qu’elle vivait pour se souvenir de toutes .

Regulus souriait, comme il le faisait à chaque fois que ses yeux croisaient ceux de sa bien aimée. C’était étrange de constater à quel point les gens pouvaient s’attacher aussi facilement aux personnes qui les entouraient. Pour Regulus et Yumiko, il n’a fallu qu’une conversation, qu’une invitation au bal de Noël, et qu’une danse, pour qu’ils prennent tout deux conscience de l’ampleur de leur sentiment. Ce lien indéfectible qui les unissait était fort. Indestructible. Pour ce Serpentard, vil et mesquin, la seule chose qui pourrait les séparer serait la mort, ou la destruction. Ou alors un choix. Regulus hésitait dans son cœur. Pas de ses sentiments, cela non. Du bien et du mal plutôt. Si un jour, il décidait de faire d’autres choix, de prendre un chemin different, Yumiko le suivrait-elle. Il ne le pensait pas. Elle était bien trop attaché au Seigneur des Ténèbres. Comme lui d’ailleurs.

Lorsque Yumiko se fit un peu plus grande pour l’embrasser comme jamais elle ne l’avait fait, Regulus la serra contre lui, si fort, qu’il craint à un moment qu’elle n’étouffe. Mais elle était sa raison de vivre, et il avait peur, à chaque instant, qu’elle ne s’échappe. Il avait beau être un Black, il manquait cruellement de confiance en lui, et si un jour il la voyait avec un autre, il ne le supporterait pas, et ce garçon, aurait vite fait de recevoir son poing dans la figure. Quoique... il n’en était pas si sur. Aussi austère et vil qu’il était, s’il comprenait que sa belle était plus heureuse avec cet homme qu’avec lui, par amour pour elle, il ne toucherait pas, de peur de la blesser, elle. La main de Yumiko vint chatouiller la sienne, et il l’étreignit avec force, mais sans brutalité. Juste pour lui faire comprendre que ce qu’il ressentait, était plus fort que tout.

- Mon amour, mon âme sœur, la femme que j’aime, l’objet de mon idolâtrie. Je ne peux plus me passer de toi, de ta présence, de tes baisers, de tes bras, de tes paroles si apaisantes, de ton parfum. Juste de toi, en réalité. Tu es la raison qui me pousse à me lever chaque matin, à lutter contre ce monde si dur. Je peux te garantir que la première personne qui ose s’en prendre à toi, te faire du mal tant sur le plan physique que moral, aura à faire à moi, car je t’aime tellement que le seul fait de te voir souffrir me déchirerai le cœur. Il n’y a pas de mot pour expliquer ce que je ressens. Je sais juste que c’est toi, ma Belle, et personne d’autre.

Regulus savait qu’un jour, la vie finirait par les séparer. Mais ce n’était certainement pas pour maintenant, et il priait pour que ce jour arrive le plus tard possible. C’était ainsi. Le cycle de la vie. L'enfant se laisse vivre, l'adolescent attend de vivre, l'homme essaye de vivre et le vieillard de survivre. Lui tentait juste de survivre, alors qu’il avait encore toute sa jeunesse et de beaux jours devant lui. Mais la vie était cruelle et difficile. La mort l’était tout autant. Elle aimait avoir son emprise sur ses prochains aspirants, les enveloppant de cette crainte de la mort. Regulus, n’avait aucune peur de la mort, ce qu’il craignait, c’était d’avoir à vivre sans elle.

-Si tu vies cent belles années, je veux vivre cent ans moins un jour, pour ne pas avoir à vivre sans toi. Je t’aime.

Elle ne pouvait s’empêcher de redouter le futur, proche ou lointain. Le temps qui passe était a la fois son allié et son plus grands ennemi, car chaque heures, minutes ou secondes qu’elle passait avec un garçon auquel elle n’aurait même pas songer rêver ne faisait que les rapprocher, mais quand il était loin d’elle, elle en soufrait terriblement

- Mon amour, mon âme sœur, la femme que j’aime, l’objet de mon idolâtrie. Je ne peux plus me passer de toi, de ta présence, de tes baisers, de tes bras, de tes paroles si apaisantes, de ton parfum. Juste de toi, en réalité. Tu es la raison qui me pousse à me lever chaque matin, à lutter contre ce monde si dur. Je peux te garantir que la première personne qui ose s’en prendre à toi, te faire du mal tant sur le plan physique que moral, aura à faire à moi, car je t’aime tellement que le seul fait de te voir souffrir me déchirerai le cœur. Il n’y a pas de mot pour expliquer ce que je ressens. Je sais juste que c’est toi, ma Belle, et personne d’autre.

Il était fou cette fois, Yumiko en était sur. Il l’aimait, ça elle en était plus que certaine désormais, mais il devait l’aimer un peut trop, elle avait peur qu’il ne la voie pas comme elle était, qu’il la croie parfaite alors qu’elle était loin de l’être. Il l’admirait trop et elle ne le méritait pas. Elle serra sa main d’avantage, elle était plus en sécurité avec lui qu’avec que dans un coffre de la banque des sorcier, personne ne l’aurait cru si elle l’avait dit à d’autre, mais avec lui rien ne pouvait l’atteindre. Mais personne ne pouvait lui faire du mal directement. Enfin si, quelqu’un pouvait le faire, et si une telle chose se produisait elle en mourrait surement.

-Tu dis n’importe quoi pas moment, je ne suis pas ta vie, autour de moi il y a un monde qui se passe volontiers de moi. Mais je ne comprends pas pourquoi tu veux me protéger, tu n’aura jamais à le faire. La seule personne qui pourrait un jour me faire du mal c’est toi… ou quelqu’un qui te ferais souffrir.

-Si tu vies cent belles années, je veux vivre cent ans moins un jour, pour ne pas avoir à vivre sans toi. Je t’aime.

Le japonaise ne trouvait plus, elle ne trouvait plus ses mots. La mort ? Il n’avait que quatorze ans ! Comment pouvait-il parler de la mort comme si elle était si proche ? Son souffle en était presque coupé… Elle avait du mal a respirer. Elle ne supportait pas d’imaginer la mort de celui qui était tout pour elle, rien que d’imaginer qu’une personne lui apprenne qu’il était arrivé quelque chose a Régulus elle se sentait mourir, le fait d’imaginer sa mort a lui elle envisageait le pire, elle savait que sans lui elle ne serait plus rien. Un monde sans Regulus était plus qu’inimaginable pour elle a cet instant.
Des larmes commencèrent à apparaitre dans ses yeux chocolats.

-Comment peu-tu penser à ne plus vivre ? la voie de la jeune serpentard déraillait sous l’effet d’un mélange de la peur de le perdre qui se matérialisait sous forme de larmes, un mélange de terreur et de tristesse.

-Ma vie sans toi est bien plus qu’impossible. Je t’aime plus que tout et j’espère que tu l’as compris. Je serais avec toi tant que tu voudras de moi, et si je le peut je te suivrais jusqu’au paradis. Une dernière chose, le fait d’imaginer ta mort me rend malade ! Et imaginer que quelqu’un puisse souhaiter ta mort me tue.

Elle ne pouvait plus retenir ses larmes, elle imaginait le pire une fois de plus, elle lâcha la main de Régulus et posa cette même mais contre sa joue, entoura son coup de ses deux bras tremblant et posa ses lèvres contre la joue de Régulus, puis l’embrassa pendant moins d’une seconde. Cette fois les joues de la japonaise était trempé, quand elle s’en rendit compte elle se sentit honteuse… Elle devait apprendre à contrôler ses sentiment. Elle baissa la tête, recula d’un pas et lui tourna le dos pour cacher ses larmes… elle se sentait vraiment idiote a ce moment précis.

[ j'ai pas l'impression d'avoir réussit une réponse cohérente sur le cou ^^]

Le temps passait. Plus le temps passait, plus Regulus se demandait si l’amour qu’il portait à Yumiko cessera un jour de grandir. Chaque nouveau jour qui arrivait ne faisait qu’accroître son attachement pour la japonaise. La souffrance qu’il éprouvait quand leurs deux âmes étaient séparées était trop dure. Un jour sans la serrer dans ses bras et il se sentait mal. Il en avait juste besoin. C’était plus que nécessaire, sinon, la peine qu’il ressentait lui déchirait le cœur. En regardant Yumiko, il discerna dans ses beaux yeux qu’elle craignait qu’il ne l’aime que pour une facette d’elle. Mais non. Il aimait tout chez elle. Ses qualités comme ses défauts.

-Tu dis n’importe quoi pas moment, je ne suis pas ta vie, autour de moi il y a un monde qui se passe volontiers de moi. Mais je ne comprends pas pourquoi tu veux me protéger, tu n’aura jamais à le faire. La seule personne qui pourrait un jour me faire du mal c’est toi… ou quelqu’un qui te ferais souffrir.

La bouche de Regulus s’entrouvrit si grand qu’il cru qu’elle allait se décrocher. Il ne pouvait croire ce que Yumiko venait d’avouer. Jamais, non, jamais il ne pourrait.

-Yumiko, mon amour, tu dois comprendre que jamais, par Merlin, jamais, je ne pourrais te faire souffrir. Je t’aime tellement que j’en souffrirai bien plus. Et pour ta gouverne, je suis bien content que les personnes qui nous entourent ne te voient pas à ta juste valeur, car sinon, il seraient tous fous de toi, voudraient passer du temps avec toi, et moi, je resterai seul dans mon malheur. Nous avons peut-être que quatorze ans, mais je sais que je pourrais donner ma vie pour toi, tellement tu m’es chère. Arrête de croire que tu ne représentes rien pour moi. Un monde sans toi est triste, gris, sans aucun soleil. Il aurait perdu son soleil. Toi, tu illumines ma vie de tes milles rayons. Sans toi, mon ciel est bien noir.

Regulus se sentit mourir quand des perles salées coulèrent sur les joues de sa belle. Quand elle pleura, le monde de Regulus s’écroula, car c’était de sa faute. A force de lui répéter sans cesse ce qu’il ressentait au plus profond de lui-même, et de lui avouer ses sentiments, il avait finit par la mettre mal à l’aise, il pouvait lire dans ses yeux chocolats autres choses que de la tristesse : de la peur et d’affolement.

-Toi, je t’aime plus qu’hier, mais moins que demain. Cesse tes larmes, ou les miennes ne tarderont pas.

La phrase qu’il venait de dire voulait dire que son amour grandissant ne cessera jamais. Chaque fois qu’il la voyait il ressentait le besoin de la protéger, de la prendre dans ses bras, de l’embrasser. La tristesse qui animait le cœur de sa belle lui serra la gorge, car il sentait les larmes lui venir à lui aussi. Mais Yumiko en décida autrement. Elle lui bisa la joue tendrement, et un profond sentiment de chaleur envahit tout Regulus. Plus elle pleurait, plus il se sentait mal.
Elle quitta la douceur de ses bras, et Regulus eut froid, tout d’un coup, et lui tourna le dos.

-Mon amour, arrête. Tu sais que je t’aime. Pleurer, ce n’est pas une honte.

A ce moment là, il parlait pour lui-même, car les perles salées inondaient déjà ses joues.

c'était trop beau pour être vrai, un garçon comme Régulus ne pouvait pas l'aimer. Elle était entrain de rêver c'était impossible que la vie lui offre tel cadeau à elle qui n'avait rien fait pour le mériter lui, la personne qui faisait battre son cœur. Ses joues humides et ses yeux rouges ne la mettait pas vraiment à son avantage même si elle s'en fichait bien. Pour le moment elle tentait de contenir ses larmes et de revenir à la réalité, à sa
réalité à elle, celle ou la vie était belle et facile.

-Toi, je t’aime plus qu’hier, mais moins que demain. Cesse tes larmes, ou les miennes ne tarderont pas.

A travers ses larmes et petit sourire fit son apparition, un tout petit sourire qui voulait rester sur le visage de yumi'. Le dos tourner a Régulus elle avait envie de se retourner et se jeter dans ses bras, le savoir si près d'elle sans qu'elle le touche la tuait mais elle avait honte. Pleurer... elle n'était pas habituée à cacher ses sentiments mais elle se sentait idiote de laisser paraitre ses larmes devant lui... Bien qu'elle sache qu'elle pouvait tout lui dire elle ne voulait pas paraitre pour une fille qui pleurniche pour un rien, après tout lui était toujours si calme face a elle qu'elle ne voulait pas paraitre trop émotive.

-Mon amour, arrête. Tu sais que je t’aime. Pleurer, ce n’est pas une honte.

"Mon amour" elle allait finir par pleurer de joie plus que de peur. Elle était SON amour, elle était a lui et entendre ça de sa bouche a lui réchauffait son coeur qui avait été comme couvert d'une couche de glace avant l'arrivé du magnifique Black dans sa vie. Ce n'était pas une honte... pourtant elle s'en était convaincu en quelques secondes. Elle avait du mal à se comprendre elle même. Elle était partagée encore et toujours entre l'envie de retourner dans ses bras et de l'embrasser pour se consoler elle même... c'était peut être ça le problème elle voulait être près de lui pour son propre plaisir, sa propre joie en ce moment elle en avait presque oublier ce qu'il pouvait ressentir, mais soudainement elle s'oublia entièrement et se retournant violemment.

- non pas ça...

Ces quelques mots étaient sortis de sa bouche en un souffle. Elle n'avait jamais aimer voir les gens pleurer mais la son cœur se déchira violemment, ses larmes c'était stoppé seule a cet instant laissant pour seul souvenir des yeux gonflés et des joues humides. Elle n'existait plus, elle s'ignorait entièrement elle ne pouvait pas le regarder comme ça les larmes au yeux. C'était de la folie, sa vie qui était devenue plus belle que ses rêves s'assombrissait en le voyant comme elle ne l'avait jamais vus, c'était étrange car elle ne l'avait jamais imaginée comme ça. Elle ne réfléchissait plus, elle n'en avait plus la force et elle laissait son instinct prendre le dessus. Elle fit un pas rapide qui ressemblait plus a un saut impatient pour se rapprocher de lui et entoura son cou de ses deux bras puis finit pas se mettre sur la pointe des pieds, il était grand mais elle s'en fichait, elle le serait fort dans ses bras, elle voulait s'imprégner de lui de son odeur de sa présence. Mais elle réalisa rapidement qu'elle le serait peut être un peut trop alors elle desserra son étreinte pour ne pas l'étouffer, recula sa tête et posa une main délicate sur la joue du garçon et essuya une larme qui était entrain de couler sur son visage si parfait. Elle ne savait pas quoi lui dire, le voir comme ça lui coupait la voie. Il avait raison et elle le comprenait, pleurer n'était pas une honte car il faut avoir un certain courage pour laisser paraitre ses émotions. Elle s'étonnait de voir que les yeux clairs de celui qu'elle aimait plus que tout ne perdait jamais leurs éclats, ils étaient toujours aussi beaux.

- Je t'aime... Pour un jour, et pour toujours. Ne l'oublie jamais s'il te plait.

Elle n'avait été capable de parler qu'avec son cœur et elle n'avait pus lui dire que, elle aurait voulut lui dire d'arrêter de pleurer mais ça faisait tellement de pleurer pas moment qu'elle ne pouvait pas lui demander d'arrêter de pleurer, et puis il était lui a n'importe quel moment et elle ne voulait en aucun cas lui demander de changer quoi que se soit n'importe quand, elle l'aimait comme il était. Elle n'avait pas retirée sa mains droite de la joue de Régulus et fit glisser la gauche le long de son avant bras et lui pris la main, ça tournait presque a obsession elle voulait le garder près d'elle un maximum. Elle l'aimait trop pour le lâcher, pour le laisser partir. Elle regarda avec attention une larmes roulant délicatement jusqu'à s'écraser contre sa mains qu'elle retira lentement du visage du cadet des black. Elle ne pouvait arrêter de sourire, bien que son cœur ai gravement souffert de la découvrir des larmes maculant ses joues elle avait finit par oublier tout ce qui rendait ce moment malheureux, il était lui, et elle était elle. Ils étaient ensemble et c'est tout ce qui comptait.

Un vent violent s’abattit sur le cœur de Regulus. Physiquement, il était présent, mais mentalement, il était ailleurs. Ses pensées étaient ailleurs. De profondes bourrasques malmenaient son cœur, le tiraillaient dans tous les sens, le bousculaient, le brutalisaient… Il était profondément lapidé. Il était éreinté. Fatigué, fatigué de tout, de cette vie, de la douleur, des profondes afflictions qui l’affectaient… D’ardentes blessures qui ne se refermaient guère, qui s’ouvraient même de plus en plus. Vaillantes flammes qui brulaient son âme. Le temps. Trop court. L’impression de ne connaître Yumiko que depuis quelques jours se faisait de plus en plus lourde, et celle de n’être qu’un objet, qu’un jouet à ses yeux, plus influente dans son esprit, plus grave, plus persistante. Comment croire qu'elle tenait réellement à lui ? Après tout, Yumiko était bien jolie, et pouvait très bien trouver bien mieux que lui ! Il ne savait rien de sa vie d’avant. Combien avaient embrassé SES lèvres ? Si douces et si suaves... Rien que d'y penser, les pensées de Regulus divaguèrent de nouveau... ses lèvres... Qu'est-ce qu'il avait envie d'y gouter à nouveau... Il n’était vraiment pas dans son état normal, il n’avait sans doute pas assez dormi. Son esprit n’avait plus aucune notion de ce qui était bien de ce qui était mal, de ce qu’il fallait faire, ou non. Rien n’importait. Si ce n’est que l’instant présent. Pourquoi prenait-il tant de plaisir à demeurer en SA compagnie ? Pourquoi est-il si étrangement bizarre quand elle était là ? Il l’ignorait. Mais espérait bientôt l’apprendre très prochainement. Le lac semblait bien paisible. Tout le contraire de sa conscience. Tumultueuse, indécise et irascible. Il avait du mal à se concentrer, surtout depuis que son corps s’était rapproché de celui de la japonaise. De toute manière, accepterait-elle de vivre avec lui pour toujours, lui, Regulus Black, petit héritier de bas-étage, qui n’était rien d’autres qu’un idiot, doublé d’un imbécile, qui ne savait rien de la vie, qui ignorait tout de l’amour. Ses petites amourettes n’avaient été rien d’autres que de simples histoires inconséquentes, qui n’avaient eu aucun impact sur son cœur et sur son âme. Mais là, il était détruit. Son amour pour elle était trop fort… Un anéantissement qu’il ne comprenait pas. Quand il sortait avec d’autres filles, il ne s’était jamais rendu compte avant maintenant, mais sans cesse, il ne cessait de les comparer à Elle. La seule qui comptait réellement. Celle ici était trop brune, trop petite, trop maigre, trop grande, trop bizarre, trop grosse, trop idiote. Jamais à son goût. Yumiko était tout ce qui lui importait désormais…
Les yeux de Yumiko semblait fiévreux, comme si elle était également sujette à la même torture que lui, mais comment le savoir ? Il ne rêvait rien d’autre qu’Elle.

« Je pleure de joie, rien d'autres. Je le sais. Nous resterons toujours ensemble. Je te le promet. Mon Amour. Je ne veux plus entendre de telles inepties, surtout de ta bouche. Je te répéterais cent fois, même mille fois si cela ne te suffisait pas. Je veux être heureux moi aussi. Sans toi... c’est impossible. Tu le sais comme moi que c’est impossible de renouer avec notre passé, cela serait nous mentir à nous même, et puis pourquoi devrais-je renoncer à exprimer mes sentiments ? Je ne veux plus de cette vie là. Moi aussi, je veux me contenter de toi, et seulement de toi. Les changements qui se sont opérés dans nos vies sont bien réels Yumiko. Le monde est en perpétuel changement, chaque minute passée offre à notre communauté une nouvelle rédemption. J’ignore pourquoi nous aimons tant nous faire du mal, je voudrais pourtant savoir ce qui nous pousse à nous faire souffrir, à nous haïr, mais moi, j’imagine que tout cela est nécessaire. Nécessaire pour que les choses changent, nécessaire pour qu’on soit ensemble. Pour toujours. »»

[ HJ : Désolé du temps de réponse Yumiko... ]

La jeune japonaise n’arriverait sans doute plus jamais a retrouver son sérieux. Elle aimait tellement Régulus qu’elle n’arrivait plus a se sortir l’image de celui si de la tête. De plus elle était comme droguée a se présence. Il était tout pour elle et sans lui elle se sentait comme vide. Le son de sa voie était le meilleur de remèdes a ses yeux, il suffisait qu’il lui parle pour qu’elle en oublie tout ce qui pouvait l’embêter. Quand elle était avec lui plus rien n’avait la moindre importance, la seule chose qu’elle pouvait désirer serait que le temps s’arrête. Il était le chat, elle était la souris, il pouvait jouer avec elle comme il le voulait, elle voulait bien n’être qu’un petit pion sur son échiquier géant, mais elle ne voulait pas le savoir… Elle refusait toujours cette idée quitte a se bercé d’illusion, elle préférait vivre en plein rêve que de se réveiller dans un monde dans lequel elle n’aurait pas le moindre pouvoir, car une chose était sur, Yumiko aimait le pouvoir. Elle était a lui, sans doute depuis toujours, son destin était peut être lié au sien… mais dans se cas là, pourquoi ? Etait-elle née pour mourir pour lui, avait-elle été conçue pour être détruite ? Si c’était le cas comment devait-elle réagir ? Cette question ne resta pas longtemps dans sa tête, comme tout ceux ici présents ses jours étaient comptés car personne n’est immortel alors elle devait vivre chaque jour comme si c’était le dernier comme elle le faisait depuis son arrivée dans cette école. Après tout elle était jeune elle pouvait en profiter non ?

Yumiko était du genre posée, elle n’avait jamais été du genre à stresser au contraire, elle avait toujours laissé le temps passé gentiment, sa vie n’était pas ce qu’on peut appeler un long fleuve tranquille mais elle n’aimait pas s’embêter a chercher à résoudre tout ses problèmes dans l’immédiat elle attendait souvent un peut trop pour réagir. Seulement en ce moment elle se sentait différente, elle était sur ses gardes tout le temps, sauf quand elle trouvait refuge entre les bras de son aimé.

« Je pleure de joie, rien d'autres. Je le sais. Nous resterons toujours ensemble. Je te le promet. Mon Amour. Je ne veux plus entendre de telles inepties, surtout de ta bouche. Je te répéterais cent fois, même mille fois si cela ne te suffisait pas. Je veux être heureux moi aussi. Sans toi... c’est impossible. Tu le sais comme moi que c’est impossible de renouer avec notre passé, cela serait nous mentir à nous même, et puis pourquoi devrais-je renoncer à exprimer mes sentiments ? Je ne veux plus de cette vie là. Moi aussi, je veux me contenter de toi, et seulement de toi. Les changements qui se sont opérés dans nos vies sont bien réels Yumiko. Le monde est en perpétuel changement, chaque minute passée offre à notre communauté une nouvelle rédemption. J’ignore pourquoi nous aimons tant nous faire du mal, je voudrais pourtant savoir ce qui nous pousse à nous faire souffrir, à nous haïr, mais moi, j’imagine que tout cela est nécessaire. Nécessaire pour que les choses changent, nécessaire pour qu’on soit ensemble. Pour toujours.»

Tout changeait peut a peut autour d’eux, les jeunes étudiants de Poudlard se trouvait au centre d’un tourbillon de changement constant. Tout changeait et rien n’arrivait à rester stable dans le monde magique. Des clans se formaient et tout le monde devait choisir. Elle n’avait pas eu le choix et ne cherchait pas a l’avoir. Elle comprenait de jour en jour que les destin de chacun ne pourra être changé . Elle ne savait pas dans quel livre mais le destin de chaque sorcier était écrit et ne pouvait être changé., ou en tout ca elle en était persuadée.

« Régulus, tu le dis toi mais il y a tant de changement… Ta présence a mes cotés et une des plus belles choses qui me soient arrivée mais si tout ce monde dans lequel on vit change pourquoi nous pas. J’ai peur, je n’ai pas peur de cet instant, j’ai peur de demain. »

Elle le regarda et lui souris, elle était vraiment stupide. Ses yeux chocolats brillants d’amour et d’admiration ce n’était plus que pour lui qu’elle prenait la peine de les garder ouverts.
Elle en avait mare de douter, mare de se lamenter de se poser trop de question. S’en était trop, elle avait besoin d’être heureuse un moment, de sentir le bonheur s’infiltrer dans tout son corps, de sentir son cœur battre comme si il allait s’arrêter quelques secondes après.

Elle inspira rapidement, posa une main de chaque coté de son visage et posa ses lèvres contre les siennes, elle avait trouvé le moyen d’obtenir ce qu’elle voulait, elle n’avait pas souhaité attendre. S’était comme ça qu’elle aurait du agir depuis le début de cette conversation. Elle aurait du arrêter de penser et AGIR chose qu’elle ne faisait que trop peut souvent. Elle pourrais mourir a cet instant qu’elle ne s’en rendrait même pas compte, elle était amoureuse et tout ce qui pouvait se passer a cet instant lui serait égal. Elle ferma les yeux et profita de cet instant avant de reculer son visage. Elle se recula pas mais tourna la tête avec une petite moue. Elle avait peut être été un peut …. Brutale non ?

« Désolé »

♥ Régulus, tu le dis toi mais il y a tant de changement… Ta présence à mes cotés et une des plus belles choses qui me soient arrivées mais si tout ce monde dans lequel on vit change pourquoi nous pas ? J’ai peur, je n’ai pas peur de cet instant, j’ai peur de demain.
♦ Ne sois pas stupide. N’ais peur de rien, avec moi, tu ne risqueras jamais rien, je te protegerais. Jusqu’à la mort.

♦Désolé de quoi ? De m’avoir embrassé ? Tu as raison, c’est un malheureux péché, tu n’aurais pas dû ! Ce n’est pas bien du tout !

Elle s’était comme abreuvée, elle était peut être égoïste mais en l’embrassant ainsi elle avait essayé de combler un manque, elle avait envie de s’agripper a lui et de ne plus lâcher, comme un ivrogne en manque peut s’agripper a un verre de Vodka. Pourrait-elle vraiment un jour se passer de lui ? Elle n’en savait rien et malheureusement n’avait pas la capacité de plongé dans le futur pour tout comprendre. Elle était obligée de vivre avec le présent et par conséquent de luter pour essayer de comprendre. Son jardin secret était entrain de brûler avec son cœur et elle ne savait plus comment calmer les flammes. Elle n’était plus elle-même, jamais avant elle n’aurait eu le cran de l’embrasser comme elle l’avait fait, si… Violement. Elle ne se comprenait plus elle-même et était prête à plaider la folie passagère s’il le fallait. Elle ne savait elle-même plus pourquoi elle agissait comme ça. Amitié qui passe a l’amour avec tant d’intensité… C’était la première fois qu’elle ressentait ça et elle avait peur, mais elle essayer de l’écouter, d’écouter celui qui était la pour elle, celui a qui elle pouvait tout dire sans rien risquer celui avec… lequel elle avait peur d’être égoïste… elle essayait de ne plus avoir peur.

-Désolé de quoi ? De m’avoir embrassé ? Tu as raison, c’est un malheureux péché ; tu n’aurais pas dû ! Ce n’est pas bien du tout !

Un péchépour en être un s’en était un ! Elle était sous l’emprise d’une certaine gourmandise et Régulus lui était le paquet de baguette réglisse qu’elle avait envie de dévorer a longueur de journée (ou plutôt d’embrasser. Elle ne pouvait s’empêcher de sourire, même quand il se moquait d’elle elle était sous son charme. Il aurait pus lui demander son cœur qu’elle lui aurait donner… Toute façon elle avait l’impression que si Régulus devait partir elle ne tarderait pas a le rejoindre quoi qu’elle doive faire.

-Non je ne suis pas désolée de t’avoir embrassé, ça je ne le regretterais jamais… et si cet acte devait être mortel c’est avec plaisir que je donnerais ma vie crois moi. Je suis seulement désolé d’être si… étrange. J’agis parfois sans réfléchir, à cause d’une pulsion que je ne contrôle pas… que je ne contrôle plus… c’est assez étrange.

Il se rapprocha d’elle et son rythme cardiaque d’accéléra, sa présence était, comment dire… INDISPENSABLE. Quand il était là, comme un aimant elle réagissait. Plus il se rapprochait plus son cœur battait vite, mais si il s’éloignait trop s’arrêterait-il de battre ? Quand il l’attira vers lui elle se laissa aller comme une poupée de chiffon, comme si elle n’avait plus la moindre volonté. Maintenant elle était blottit dans les bras du plus jeune des Black, il la sèrait contre lui et elle espérait ne plus avoir l’occasion de bouger. Elle laissa mollement tomber sa tête sur le torse de celui-ci, comme un bébé qui reçoit son premier câlin, elle ne désirait plus rien et ferma les yeux pour apprécier ce moment.

-Je pourrais m’endormir comme ça tu sais ? Par ce que si je m’endors je pourrais continuer ce rêve à jamais et rêver que je suis dans tes bras encore et toujours.

Elle ne bougeait plus, elle n’en avait plus le courage, et puis si le bonheur est éphémère pourquoi s’en priver.

(c'est mal présenter j'arrange ça après je suis pressée ^^ et t'inquiète pas moi non plus je suis pas une rapide)

♥ « Non je ne suis pas désolée de t’avoir embrassé, ça je ne le regretterais jamais… et si cet acte devait être mortel c’est avec plaisir que je donnerais ma vie crois moi. Je suis seulement désolé d’être si… étrange. J’agis parfois sans réfléchir, à cause d’une pulsion que je ne contrôle pas… que je ne contrôle plus… c’est assez étrange ».
♦ « J’espère bien ma Belle. Et arrête de te poser des questions comme celles-là, tu me donnes mal au crâne. On se fiche bien de ce qui nous arrive. Nous sommes devenus fous, c’est tout, mais fous d’amour, et nous n’y pouvons rien, c’est comme ça et puis c’est tout. Moi aussi je ne me contrôle plus quand je suis avec toi... »

♥ « Je pourrais m’endormir comme ça tu sais ? Par ce que si je m’endors je pourrais continuer ce rêve à jamais et rêver que je suis dans tes bras encore et toujours. »
♦ « Tu es drôlement poétique quand tu t’y mets ma Belle. Tu sais que je n’en pense pas moins. Seulement, il se fait tard, le soleil décline, Rusard ne va pas tarder à passer. Viens, rentrons. »

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