-Alex', où est-ce que tu...

Je me retournais et sourit brièvement à mes amies, en m'excusant de ne pouvoir rester. Mon heure de retenue approchée et je n'avais toujours pas envoyé la lettre pour ma mère. Lettre qui soit dit en passant, lui révèlerait que Frank n'avait jamais fait ses études en France, mais à Poudlard. Voilà un mensonge qui lui coûtera cher...

Je sortis rapidement de la bibliothèque et traversais les longs couloirs du quatrième étage. Maudit professeur de potion qui n'avait aucun humour ! Me voilà à présent obligé de gaspiller une heure de mon temps libre pour aller en retenue. Je détestais le pouvoir qu'ont les enseignants, ils punissent et privilégient des élèves, sans qu'on leur demande de comptes. Et il faut bien dire, que le plus généralement j'entre dans la catégorie de ceux qu'il puni.

Heureusement, tous les professeurs ne sont pas pareils et certains sont mêmes très faciles à manipuler. Au fur et à mesure que j'avance dans les couloirs, mon esprit s'égare sur des souvenirs. Je commence à faire le compte des fois où j'ai fini dans le bureau du directeur de ma maison et même dans celui-ci de Dumbledore. Je grimaçais en pensant à ce nom.

Mais je n'eus pas le temps de pester sur le directeur de Poudlard, car tandis que je passais à un angle du couloir, je tamponnais brutalement quelqu'un. Je ne vis pas tout de suite de qui il s'agissait, bien trop occupée à essayait de me relever.

-Bon sang, mais vous ne pourriez pas faire attention ! m'écriai-je, menaçante.

Je relevais le visage vers celui qui était responsable de ma chute.

Peter retournait dans la salle commune de sa maison... Il venait de se faire prendre dans les cuisines de poudlard, le gryffondor ayant encore et toujours faim avait voulut manger un petit morceau et il c'était fait prendre par cet idiot de concierge. C'est donc penaud et bredouille que le garçon retournait dans sa salle commune.

Il avait une heure de colle le lendemain a cause de son estomac qu'il maudissait désormais mais ne pouvait pas oublier car il manifestait son mécontentement.

Quand une jeune fille plutôt jolie lui rentra dedans il se retrouva tout surpris de cette rencontre brutale.

-Bon sang, mais vous ne pourriez pas faire attention !

Très bien... Cette fille avait l'air de ne pas vouloir s'excuser alors qu'elle ne regardait pas ou elle allait... Autant que quelqu'un le fasse pour ne pas que sa tourne mal. Déjà qu'il avait tendance à avoir quelques problème avec la gente féminine.

- Pardon, je ne te savais pas dans ces couloirs car je ne t'avait pas vus. Tu ne t'es pas fais mal .

Peter allait finir par s'énerver si elle ne changeait pas rapidement de langage. Durant plusieurs année Peter avait été sujet au moqueries et autres remarques désobligeante. Durant tant d'années il avait enfouit au fond de lui sa colère, mais depuis le temps avait passé et Peter avait désormais de amis qu'ils prenaient plus ou moins pour modèle. Mais cette fois il ne se demanda même pas comment aurait réagit ses amis. Non... La c'était lui qui parlait, un lui que seul certain des gryffondor connaissait. Ces serpentard a la noix ne connaissaient point les bases du respect et n'avait peur de rien, ce qui énervait Peter et le rendait jaloux... car lui était un grand peureux par moment. Il se s'avança vers elle et la regarda avec des yeux d'un noirs profond. Un noir qui pourrait se comparé à une nuit sans lune voir plus sombre, le néant.
Rien ne pouvait plus être sondé dans les yeux du garçon, rien d'autre que la colère qui montaient en lui peut a peut. Si des paroles dites sur le même tons que les précédente coulaient a nouveau de la bouche de la serpentard alors ce serait la goute d'eau qui ferait débordé le vase.

- Avant d'accusé les autre tu ferait mieux de faire attention a tes affaires ! On ne t'as donc pas appris la politesse ? A moins que le fait d'être entré dans la maison de ses serpents t'a fait oublié les valeurs que tes parents on PEUT ETRE voulut t'enseigner.

-Avant d'accusé les autre tu ferait mieux de faire attention a tes affaires ! On ne t'as donc pas appris la politesse ? A moins que le fait d'être entré dans la maison de ses serpents t'a fait oublié les valeurs que tes parents on PEUT ETRE voulut t'enseigner.

Etait-il réellement sérieux? Je le regardais, surprise, tandis que la colère familièrement que m'inspirait généralement les gryffondors montait en moi instintivement. Je m'approchais de lui, et lui lançai un regard glacial.

-Comme tu n'as pas l'air d'avoir un cerveau plus gros qu'un poichiche, je vais fermer les yeux sur le ton que tu as employé pour me parler ; mais saches que la prochaine fois que tu parleras, ou fera allusion à mes parents je serais bien moins bonne envers toi l'imbécile, dis-je d'un ton velouté mais menaçant.

Pour qui se prenait-il au juste? Sa maison n'était faites que de petits prétentieux, arrogants et primitifs imbéciles qui se prenaient pour des rois valeureux. Je les méprisaient plus que tout, eux et leurs manies de pavaner, fiers de leur soit disant courage.

Les Serpentards, eux, employés leur intelligence, et leur ruse pour survivre, et grimper les échellons. Nous avions de l'ambition, et nous ne passions pas notre temps à nous vanter.