Promenade calme & rencontre surprenante [Avec Camélia Gray]

Remus marchait doucement d’un pas rêveur, le couvre-feu n’était pas encore passer. Il faisait nuit, la lune était cachée par des nuages, son problème mensuel était déjà passé. Il marchait d’un pas doux, il se stoppa et s’assis dans l’herbe près du lac. Il l’observait s’imaginant pleins de choses, tel Sirius et James faire des bêtises, Lily et lui se serrant fort l’un contre l’autre pour les rassurés tous les deux, les blagues que ses trios amis faisait a Severus. Il se sentait mal, mais heureux, il n’avait pas la place dans se monde mais personnes ne le rejeter, non même si il était dangereux pour leurs vies, même si il était plus calme que les autres maraudeurs aucun ne le refusé au contraire ils l’aidaient. Leurs attitudes lui redonner doucement goût et joie à sa vie. Il versa quelques larmes mais les effaça rapidement, il n’avait pas le droit de pleurait alors que tous le monde faisait tout pour son bien-être.

Il se leva doucement, il commençait a faire vraiment sombre, il eu la merveilleuse idée de sortir sa baguette et de faire le sort « Lumos » pour voir plus clair. Il marchait toujours très doucement, pourquoi se pressez… Il regardait les derniers élèves entrait dans l’école, il commença a pleuvoir, mais Remus ne stoppa pas sa marche. Il aimait marchait même si le temps l’empêcher d’avancer il irait a son but même si pour sa il devait se sacrifié. Il aperçut quelques serpentards qui le regardèrent de travers, en effet Remus était connut pour être avec les maraudeurs et les maraudeurs sont connut pour mener la vie dur au serpentard. Mais cependant il n’y fit pas attention, il n’aimait en aucun cas c’est élèves.

Remus se sentis légèrement observait, il s’en contre fichait, il savait bien que c’était les autres serpents qui le dévisageaient. Enfin il pensait, il marchait toujours sous la pluie. Des gouttes d’eau mouillé son visage et aplatissait ses cheveux de couleur miel. Son uniforme était trempé, des frissons parcourait on corps frêles et blessait par le calvaire qu’il devait subir chaque soir de pleine lune. Le bandage de sa main gauche était également trempé se qu’il lui fit atrocement mal. Mais cependant il avançait toujours, parfois il étendait des pas mais ne se retournait jamais, après tous sa lui faisait quoi qu’on le suivait.

La pensait de son père lui traversa l’esprit. Il pensa un doux « Je t’aime papa », mais ne le dit pas. Les pas se fut plus insistant se commençait a l’énervé il ne se retourna pas.

-Qui êtes-vous ?

Sa voix était hésitante, non il n’avait pas peur, mais il était juste surpris. Pourquoi on le suivait ? Pourquoi cette personne ne lui parlait pas ?

Invité

La semaine s'était écoulé sans qu'aucun événement particulier ne se déroule dans l'incroyable école de sorcellerie, à croire que les maraudeurs avaient mieux à faire que d'épater la galerie. Un moment de répit dans une école tumultueuse et toujours encline aux changements. Elle appréciait le calme qui s'était enfin installé dans les couloirs, heureuse que ces petits fanfarons cessent un peu de se comporter en irresponsables. Et dire qu'elle était dans la même maison qu'eux, elle poussa un long soupir en se le remémorant, elle aurait tout donner pour être chez les serpentards, mais le sort s'acharnait sur elle. Obtiendrait elle un jour ce qu'elle désirait par dessus tout? Elle en doutait de plus en plus vu la malchance qui ne cessait de la harceler. Les cours enfin terminés, elle se retira dans le dortoir des Gryffondors, déposa ses cahier, enleva sa blouse de sorcière qui la rendait honteuse. Le blason or et rouge la répugnait de plus en plus, ce lion fière et combatif ne lui ressemblait pas, elle ne savait vraiment pas comment le choipeaux avait pu voir tant de qualité en elle alors que la moitié d'entre elles ne faisaient pas partit de son vocabulaire.

Sur son lit Gabriel dormait paisiblement, rouler en une boule blanche qui aurait pu être confondu avec une boule de neige. Elle s'assit quelques instants auprès de son chat et lui caressa le dos, un ronronnement s'éleva alors et le chat aux yeux indigo leva enfin sa tête fine pour regarder avec bienveillance sa maitresse . Voilà plus de 5 ans qu'ils partageait sa vie et rien ne pouvait lui faire plus plaisir. Il s'étira étirant ses longues pattes aussi loin qu'il le pût et se redressa, sachant très bien ce qui les attendaient. Encore une soirée où la petite Gryffondor allait faire le mur et s'échapper dans la forêt interdite, s'était devenu une habitude pour lui comme pour elle. Elle sortit de sous son lit un petit sac à dos, discret et léger, qu'elle posa sur sa table de chevet le temps de retrouver son calepin de dessin et son matériel. En quelques minutes, elle fut prête pour son expédition quotidienne. Elle sortit tranquillement du dortoir en essayant de ne pas se faire remarquer. Dans la salle commune, aux draperies brodés de rouge et d'or de nombreux élèves s'étaient réunis, ils semblaient soucieux mais Camélia ne s'attarda pas pour savoir de quoi il retournait. Encore des sujets sans importance, elle continua son chemin suivit par Gabriel qui ne la lâchait pas d'une semelle. Elle ne rencontra personne dans les couloirs, la plupart des élèves étaient dans leurs dortoirs ou en train de s'empiffrer dans la grande salle au plafond changeant. Elle sortit discrètement de l'établissement, une fois dehors elle ressentit un extrême soulagement comme à chaque fois. Elle avait toujours eue peur de se faire coincer par Rusard, ce concierge à l'œil vif avait un sacré avantage, lui aussi avait un félin fidèle qui repérait sans mal l'odeur de Gabriel et le signalait automatiquement à son maître. Mais ce soir, Rusard n'était pas là et elle pu donc se diriger vers la forêt interdite sans mal.

Lorsqu'elle pénétra dans la forêt, des milliers de senteurs s'imposèrent à elle rapportées par la douce brise de l'hiver. L'odeur de l'herbe fraîche, celle du lac se situant tout prêt, l'odeur des dernières fleurs et tant d'autres qu'elle ne pouvait toutes les définir. Elle se sentit enfin calme et détendu, la présence de la nature avait toujours eue cette effet sur elle, elle se sentait enfin dans son élément. Depuis qu'elle était arrivé à Poudlard elle n'avait eue de cesse d'explorer cette forêt connue pour être dangereuse. En un an elle la connaissait presque par cœur bien qu'elle ne s'éloignait jamais trop du château. Ce soir là, elle opta pour un tour du lac, un de ses lieux préférés en cette période. En effet, bien que la lune soit voilé par quelques nuages, sont éclat reflété sur le lac était un spectacle splendide et inoubliable. Elle s'installa contre un chêne et commença a dessine tentant d'immortaliser le moment présent , tandis que Gabriel se roulait dans l'herbe et chassait quelques mulots. Le couvre feu n'allait pas tarder à être déclencher, mais cela ne lui déplaisait guère, ainsi la forêt serait réellement déserte et plus rien ne pourrait la déranger. Enfin c'était sans compter sur la silhouette qui venait de surgir de la forêt, Camélia ne pouvait le reconnaître elle était bien trop loin de lui, mais d'après sa carrure elle aurait juré que c'était une fille assez maigre d'ailleurs. Que pouvait elle bien faire ici? Elle rangea son calepin en vitesse et décida de se rapprocher pour découvrir qui elle était. En quelques minutes, elle arriva à l'endroit où la jeune fille se tenait précédemment. La silhouette continuait à marcher mais lentement, très lentement, trop lentement, était elle blessé? L'inconnue s'arrêta et parla d'une voie hésitante.
Camélia ne répondit pas sur le moment, elle ne savait pas si c'était un membre du personnel ou une élève, pourtant elle s'approcha un peu plus et découvrit que l'inconnue était en faite un garçon, elle reconnut les cheveux châtains de son camarade de maison: Remus. Elle se décida donc à répondre d'une voie qui ne trahissait en rien sa surprise:

« Salut Remus, c'est Camélia tu te souviens ont est de la même maison et de la même année scolaire... »

Remus attendit patiemment ce qu’elle s’identifie, elle avait reconnut les pas traînant d’une femme et son odora lui avait confirmé que le parfum que dégager cette personne était bien féminin. Il comprit qu’elle s’avancer vers lui grâce au son des pas qui se rapprocher. Elle déclara que c’était Camélia, Remus chercha dans se mémoire. Une Camélia, dans la même maison et dans la même année… Elle n’avait pas pu échappait a son regard doré. Il se retourna, peut-être qu’il ne la connaissait pas par son nom mais par son image. Il ne connaissait encore moins sa voix, elle avait un ton de surprise. Il aperçut une jeune demoiselle aux cheveux blond très clair. Ce n’est quand apercevant les yeux de couleur rose qu’il se souvenus. Ses yeux captivant, il ne savait pas son nom ou il ne l’avait pas entendu la première fois qu’ils c’était rencontré, c’était juste ses yeux rosé qu’il avait obtenus toute son attention. Il décrocha un doux sourire, elle était belle.

- Bonsoir Camélia, oui je me souviens… Comment vas-tu ?

Il faisait encore le plus sombre possible, c’était la nuit. La pluie tombait encore, les deux gryffondor n’était éclairé seulement par la lumière magique qui sortait de l’extrémité de la baguette de Remus. Il ne la connaissait que très peu, mais l’adorait déjà, elle lui donner une envie de la connaître plus. Sa main gauche le fit souffrir en silence, la cause était la morsure qu’il se faisait chaque nuit de pleine lune. Il venait de serré un peu plus sa baguette et serré ses dents, se qui eu pour effet de faire effacer le sourire doux qu’il affiché. Il avait mal à cause de la pluie et maudissait se temps… Des gouttes de pluie perlait de visage de Remus ses cheveux miel était aplat et mouillé. Quelques mèche lui collé au visage, ce qui lui donné un doux charme. Il décrivait du regard la jeune fille qui se tenait près de lui. C’est alors qu’il se rappeler que le couvre-feu devait arrivé d’un instant a l’autre et que 30 min après il devait faire sa ronde, c’était sa la vie de préfet. Il n’avait nul m’en envie de quitté cette jeune fille, et de partir loin de cette jeune gryffondor qui avait un charme absolu.

- Tu devrais rentré le couvre-feu va bientôt arriver…

Cependant il lui conseilla, certes il ne voulait pas partir mais en même temps il ne voulait pas la collé a cause de se fichus règlement.

Invité

Camélia se rapprocha du jeune préfet jusqu'à ce qu'ils puissent s'apercevoir sans froncer les sourcils. Il était pas mal tout de même le petit Remus mais bien trop maigre à son goût pourtant ses yeux couleur d'ambre, fit naître en elle un lien étrange presque de parenté. Des yeux identiques mais lui ne s'en cachait pas, il en était fier, elle beaucoup moins, préférant une couleur délirante à sa propre nature. Elle le dévisagea un moment et fut ravi de constater qu'il se souvenait d'elle au moins grâce à son physique. Elle lui sourit en retour et resta là a l'observer sans un mot. La pluie continuait à tomber rabattant ses cheveux sur son visage pâle, l'encadrant ainsi d'un halo de lumière. Pourtant elle n'avait pas froid, au contraire elle aimait sentir l'élément contre son corps et glisser sur lui. Elle se décida enfin à lui répondre avec un ton chaleureux.

« Sa va bien et toi? »

Soudain, le visage du jeune homme se décomposa, son sourire disparut comme il était apparut et il semblait tendu, tellement tendu qu'on aurait pu croire qu'il allait fendre sa baguette rien que par la force de ses poings. Elle lança une analyse rapide du corps du garçon, il ne semblait pourtant rien avoir, mais quand son regard se posa sur le bandage, elle comprit aussitôt. La pluie était peut être bon pour les plantes mais certainement pas pour une plaie. Comment il se l'était fait cela lui importait peu pour le moment, tout ce qui comptait c'est qu'il n'est plus mal. Elle s'avança un peu plus et lui attrapa le poignet avec douceur, passant son doigt autour du bandage. Elle ne savait pas trop comment il allait prendre cette intrusion de son espace privé, elle ne lui voulait aucun mal bien entendu mais certaines personnes refusent d'être aidées pour diverses raisons: fierté, secret, la peur des questions indiscrètes. Son doigt continuait de se balader sur la main meurtrie, lorsque Rémus reprit la parole. Ce fichu couvre-feu....si seulement il ne pouvait pas exister celui là mais pour une fois il tombait à pic. Rémus était blessé et même s'ils n'étaient pas les meilleurs amis du monde elle se sentit obligé de l'aider d'une manière ou d'une autre. Elle plongea son regard dans celui du jeune homme.

« A ce que je sache tu n'as pas le droit d'être ici, n'est ce pas? Surtout avec une fonction aussi haute que la tienne. Alors je te propose une petite chose, tu me raccompagnes au château et l'on fait ton tour de garde ensemble, ne t'inquiète pas je suis discrète et puis il faut soigner cette blessure dans tout les cas il faut rentrer aussi bien pour toi que pour moi. »

Elle lui fit un clin d'œil amical, soudain Gabriel accourut vers elle, le poil hérissé, les yeux emplis par la terreur. Le chat au pelage blanc se réfugia sur les épaules de sa maîtresse, faisant tout son possible pour ne pas enfoncer ses griffes dans la chair. Elle prit le chat dans ses bras et l'abrita grâce à ses cheveux, bien que ceux ci avait perdues leur étanchéité depuis longtemps. Elle n'attendait plus que son compagnon de dortoir et la réponse à son invitation.

Remus fut heureux d’entendre la jeune fille lui répondre, tout en souriant. Il admirait son sourire, chaleureux, tendre. Elle allait bien cela lui faisait plaisir. Même très plaisir, alors si elle allait bien pourquoi il n’allait pas bien. Et bien… Il avait mal a sa main atrocement mal, mais sinon tout allait pour le mieux.

-Je vais très bien je t’en remercie.

Il n’eu pas le temps de réagir que la jeune fille qui l’accompagné avait prit sa main blesser avec douceur. Il la regarda interloquer, puis elle commença a lui caressait avec une douceur inoubliable sa main bandée. Le jeune blond la regardait l’air interrogateur, il ne comprenait pas pourquoi elle faisait sa. Pourquoi le soulageait-elle ? Mais c’est mouvement doux l’apaisa. Son doux sourire revenu puis il la remercia rien qu’avec les yeux. Il s’incrusta dans les yeux roses de la jeune demoiselle, il les trouvait passionnant, puis l’emprise qu’il avait prit sur sa baguette se calma, il lâcha légèrement le bâton magique et partit à la recherche de la raison de son acte doux.

-C’est gentil ce que tu fait pourquoi tu fait sa ?

Sa voix était douce mais en même temps chaleureuse, son sourire resta accrochait à ses lèvres, il aimait sourire au vu d’une belle demoiselle. Non ce n’était pas pour la draguer, mais juste pour la rassurer, la réconforter. Remus était assez fort pour arriver rien qu’avec un sourire faire changer une personne. Il aimait sourire simplement pour le bonheur de quelqu’un, même si pour sa il devait sacrifié quelques choses qui lui tenez a cœur. Il écoutait la jeune fille déclarée qu’il n’avait pas le droit d’être ici, elle avait raison. Normalement il devait être déjà près pour son tour de garde, puis elle lui proposa une chose, elle l’accompagné pendant sa garde et il l’accompagné au château. Il se mit a réfléchir, après tout quesque sa lui coûtés d’avoir cette jeune fille a ses cotés. Et bien, si ils se faisaient prendre. Remus risquait sa place de préfet et quelques jours voir mois de colles et pour la jeune demoiselle le même temps de colles qu’il avait obtenu. Mais il se disait que sa serré marrant de ne pas être seul pour une fois…

-C’est d’accords mais je te préviens il faut que tu sois très discrète parce que je risque a ma place et toi collé pour un bon bout de temps.

Le jeune gryffondor aperçut une boule de poil blanche aux superbes yeux indigo qui venait de se réfugier à l’abri de la pluie. Elle le plaça a l’abri sous ses cheveux.