Coeurs insouciants vivent longtemps...

Invité

Ses grands yeux gris étaient cernés de bleu. Depuis quelques temps, elle passait plus ses nuits les yeux ouverts que les yeux fermés. Tant de questionnement pour ne jamais trouver de réponses. Plusieurs fois, elle avait cru devenir folle, tant ses pensées lui tourmentaient l'esprit. Elle s'était mise à compter les sorcières passant dans les anneaux des buts plusieurs fois, elle avait prit une potion pour dormir sans sommeil, lut des bouqins tout aussi endormant que si Binns parlait, elle avait essayé toute sorte de chose, et rien n'avait fonctionné. Elle n'en pouvait plus. Après plusieurs nuits à se retourner sans cesse dans son lit, elle avait fini par quitter son dortoir. Et sa salle commune.

Ses pas l'avaient mené à la tour de la volière. Drôle de coincidence, se dit la jeune fille. Elle s'arrêta au pas de la porte, et regarda les oiseaux tout autour d'elle. Il y en avait tellement qu'elle ne savait même plus où regarder. A maintes reprises, elle le chercha. Mais elle dût se rendre à l'évidence qu'il était bel et bien parti. Elle sentit son coeur se tordre dans sa poitrine.

Elle avança dans la pièce. Elle s'attendait à ce que la belle chouette vienne se poser sur son épaule, mais au bout de quelques minutes, aucun oiseau ne vint se poser sur elle. Autre pincement au coeur.

La jeune fille s'approcha d'une des fenêtres. La nuit était entamée depuis quelques heures maintenant. Le ciel commençait peu à peu à s'allumer de ses étoiles, et la lune, encore en mince croissant, brillait doucement dans le ciel d'un bleu intense. Elle resta longuement à contempler la vaste étendue qui s'offrait à ses yeux. C'était beau, mais c'était froid. Froid comme l'hiver, comme la neige et le vent, comme la pluie et l'eau glacée. Froid comme le marbre, comme la pierre et le métal. Froid. Froid comme le coeur meurtri de la jeune fille.

Sa main trembla. Etait-ce de froid? Ou bien de fatigue? En réalité, elle sentit les premiers signes de spasmes qui accompagnaient en général ses crises de pleurs. Elle tenta de contrôler sa main, puis le drôle de tiraillement qui gagnait sa gorge. Cela lui fit mal à la mâchoire, tellement elle serra fort ses dents pour empêcher les larmes d'envahir ses yeux. Mais lorsque son regard se posa à nouveau vers le ciel et ses étoiles, elle capitula. Les larmes roulèrent doucement sur la peau de ses joues. Au contact du froid, les sillons dessinés par l'eau légèrement salée de ses pleurs lui picotèrent un peu.

Enfin, elle s'effondra.

Son corps se recroquevilla, elle glissa contre le mur pour se rouler en boule sur le sol. Silencieusement, elle pleura. Elle pleura sans se soucier de quoique ce soit. Elle s'était suffisement soucier de ce qui l'entourait et des autres pour à présent se soucier de l'endroit où elle pleurait.

Tout lui revenait en mémoire. Les mots étaient gravés dans sa tête, dans ses yeux, sur ses rétines. Elle sanglota. Les mots étaient trop violents pour elle. Ce qu'ils signifaient l'avait anéantie. Comment allait-elle se relever à présent? Elle était seule. Il l'avait abandonnée, plus que ce qu'elle ne pensait. Et même si elle voulait le convaincre de changer d'avis, il serait bien trop tard. Il lui faudrait des jours entiers pour lui écrire ce qu'elle ressentait, pour essayer de le faire revenir. Mais des jours entiers, cela était bien trop tard.

Elle voulu crier tellement elle avait mal. Son coeur se tordait dans sa poitrine, ses larmes redoublèrent d'intensité. Pourtant, elle resta dans le silence total, seule dans la volière.

Cassiane J. Helens pleurait.

Invité

Kiyoshi en pouvait plus, ses partenaires de chambre faisait la fête pour il raison qu’il ignorait et de tout façon il ne voulait pas le savoir. Il essaya t’en bien que mal, parmi les rires de ses camarade de s’endormir dans son lit en baldaquin aux rideaux de la douce couleur noir. Puis après avoir fait toute les position possible pour trouver le repos il abandonna. Ecoutant les rires, les voix assez forte frapper son cerveau fatigué de tout son brouhaha. Plusieurs fois déjà il les avait réprimander leurs demander de faire moins de bruit, mais ses camarades respecter se demande seulement pendant deux minutes. Le japonais en avait plus que marre, cela faisait plus de deux heures qu’il les entendait brayaient, presque hurlaient, rirent pour un rient. Ses camarades lui faisait se coup depuis maintenant une semaine et l’asiatique ne comprenait pas. Et puis à tout ça se rajouter la lettre sans réponse qu’il avait envoyait a son grand-père.

Finalement il finit par sortir de ses couvertures chaudes et se dirigeait vers la salle de bain pour se changer. Il opta pour un pantalon noir assez classe, un tee-shirt noir aussi, et une veste blanche. Il se recoiffa n’aimant pas être dans un sale état pour sortir même si il faisait déjà nuit et qu’il était sensé déjà dormir a point fermé. Il sortit de son dortoir sous les « Où vas tu ? » mais aussi « Kiyoshi reviens !! » de ses camarades ne comprenant pas son acte impulsif. C’est alors qu’il sortit de la salle commune où le bruit n’était franchement pas mieux que son dortoir, Kiyoshi ne comprenait pas pourquoi tout le monde voulait faire la fête depuis maintenant une semaine. De plus il n’avait eu que deux heures de sommeil la nuit dernière. Il avait réussi à s’endormir dans un arbre dans le parc, aujourd’hui il n’avait pas envie d’aller au parc.

Kiyoshi marchait tranquillement et doucement près du lac faisant quand même attention de ne pas se faire prendre en fragrant délit comme dirait son cher grand-père. Puis ayant marre de marchait près de lac, il se laissa dirigeait vers la tour et monta dans un tour, enfin Kiyoshi aimer la tour de l’Ouest il montait doucement les escaliers, voulant juste être le plus loin du monde.

Alors que le jeune japonais venait d’ouvrir la porte en silence il vit une silhouette marchait dans la pièce. L’asiatique ferma brusquement la porte toujours en silence ne voulant pas se faire prendre. Il qu’il entendait des pas en bas de la tour il entra de la pièce de peur de ce faire coller. Il vit une jeune fille allongé par terre, Kiyoshi se disait qu’elle avait dû tombait et perdre connaissance. Alors avec délicatesse il la prit dans ses bras et se cacha. Après s’être cachait lui et la jeune fille il la regarda, il respirait encore, et puis il l’avait sauver d’une colle et d’un réveille bruyant.