Après un énième rateau [PV Akahito]

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S’engageant dans la galerie des armures, Kirche soupira : elle venait une fois de plus de flanquer ce qu’on appelle communément un râteau monumental à un quatrième année de Poufsouffle un peu trop entreprenant. Pour qui se prenait-il celui là ! Faire comme si l’allemande était folle de lui – alors que ce n’est pas le cas, ce gringalet repassera dans quelques années ! Enfin tant pis pour lui, il devait s’en mordre les doigts après la gifle pas piquée des verts qu’il s’était prise !

La jeune femme espérait juste que les garçons comme ce crétin n’étaient pas si nombreux que ça. Ce n’était pas par plaisir qu’elle giflait les autres, même si elle devait reconnaître que cela faisait le plus grand bien. Non mais c’est vrai ! Kirche n’aimait pas qu’on lui colle aux basques sans sa permission. Continuant son chemin parmi les armures, elle se dirigeait vers l’escalier menant au deuxième étage et ainsi de suite jusqu’au sous-sol où se trouvait sa salle commune et le dortoir. Elle avait besoin de se changer les idées, dans un bain par exemple. Pour s’enlever les traces de baves de ce gosse. Bon d’accord. Il n’avait pas bavé. Et Kirche n’avait qu’un an de plus que lui. Mais un bain la détendrait bien. Elle n’avait pas cours de la journée puisqu’on était dimanche.

Lorsqu’enfin elle parvint à la porte, elle rentra dans quelqu’un qui voulait lui pénétrer dans la pièce. Ce n’était pas tellement son jour aujourd’hui. Elle se contenta de lâcher un bref « pardon ». Ce n’était pas sa faute. Elle regardait ou elle allait. Elle.

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Encore une journée à se prélasser. Akahito n'avait fait que ça de la dite journée. Il chauffait quelques filles de sa maison en les laissant espérer sur un air toujours hautain. Même s'il était en couple, il ne se génait pas pour se jouer d'autres filles qui ne le savaient sans doute pas. Il était sadique, le japonais. Il avait hate de rejoindre le bal de Noël avec sa belle, Camille Tanka. Elle était belle, certes, mais arrivait, elle au moins, à le comprendre. Akahito était dans la grande salle, en train de prendre son déjeuner. Quelques carottes accompagnées d'un steak. Ce plat représenter bien son humeur...Folle. Car il n'aimait ni l'un des ingrédients ni l'autre...Mais le japonais était ocmme ça, étrange sur les bords.

Le repas fini, Akahito sortit de la grande salle et se dirigea vers la bibliothèque, située, elle, au quatrièeme étage. Il était d'humeur à lire...Alos qu'il détestait ça. Mais avant, il devait déposer sa guitare qui l'ecombrerait plus qu'autre chose dans cet océan d'odeurs de décomposition qu'était l'immense bibliothèque de Poudlard. Il s'engouffra dans le troisième étage, voulant rejoindre les escaliers magique. Il s'aventura ensuite dans la galerie des armures.

Après plusieurs minutes à dévisager les armures, il reprit sa marche assez rapide et percuta une personne. Il entendit un faible pardon et se remit droit avant de faire face à son opposant. C'était une fille, et...Ciel ce qu'elle était belle ! Akahito se força de la fixer droit dans les yeux et s'empêcha de loucher sur son décoleté fort plongeant...A quoi jouait elle ? Elle devait sans doute prendre un malin plaisir à se jouer des garçons de cet école...Petits ou grands. La vile ! Elle aussi, apparament, resta là devant le japonais. Le trouvait-elle beau ? Il ne voulait pas le savoir car il avait déjà quelqu'un dans son coeur. Apès quelques secondes à se dévisager, le beau japonais se lança.

Ohayo. Je m'appelle Akahito...et toi ?

Puisqu'ils restaient là à se dévisager, autant se lancer dans les présentations...Car de toutes façons, ils n'allaient pas partir chacun de leur côté sans s'échanger un mot. Akahito replongea ses yeux dans le visage de la belle Serpentard...Mais c'était un vrai défi que de ne pas loucher sur sa poitrinne. Diantre ! Il devait regarder autre chose...Car même son visage ne le laissait pas indemne. Il fit alors tomber sa guitare au sol, bien sûr, il le fit sans qu'elle ne se rende compte qu'il l'avait fait exprès. Il se baissa, posa ses mains dessus et la souleva et sous prétexte de l'avoir fait tomber, la sortie et regarda si elle n'avait rien.

Hum...euh...Pourrais-tu...Reboutonner ta chemise, ne ? Parce que c'est vraiment génant pour moi...et sans doute pour nous, les hommes, en général.

Akahito n'avait pas froid aux yeux, il devait remettre les choses à leur place et ne voulait surtout pas qu'elle ne se joue de lui et de sa confiance. Comment allait-elle réagir ? En tout cas, si elle refusait ce geste, il partirait...Ne voulant pas trahir la douce et belle Camille sous prétexte qu'une serpentard, certes mignonne, dévoiler des parties assez intimes de son corps.

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Le garçon qui se trouvait devant elle était plutôt mignon, elle l’avait déjà vu. Un Poufsouffle. Décidément, elle n’avait à faire qu’avec des jaune et noir aujourd’hui ! Ils auraient du monter une secte, « ennuyons Kirche ! ». Enfin. Contrairement au quatrième année, celui là ne semblait pas nourrir des intentions trop ennuyeuses. Par contre, il louchait sur son décolleté. Pauvre petit. Mais Kirche ne pouvait pas lui en vouloir puisque c’était voulu. Quoique là, ce fût encore plus plongeant que d’habitude : lorsqu’elle avait voulu laver sa chemise, celle-ci avait un peu rétréci au lavage. Et elle n’en avait pas d’autre à se mettre sur le moment, c’est pour cela qu’elle avait demandé deux ou trois chemises un peu plus grande. Parce que même pour elle, cela devenait indécent. Et pas qu’au niveau de la poitrine, elle n’avait qu’à lever un tout petit peu le bras pour qu’on voie son ventre plat et hâlé. Et encore, elle avait atténuer les dégâts puisqu’elle avait pris une cape noire en plus.

Pour en revenir au japonais, Kirche l’avait souvent vu entouré de filles, cela devait être un de ces jolis cœurs qui aiment se jouer des filles alors que leur cœur était justement déjà pris. Parce que Kirche avait dû voir ce garçon avec une fille. Ils étaient proches, et il ne vérifiait sans doute pas si elle avait une poussière dans l’œil. Enfin après tout, ça le regardait. Kirche ne pouvait décidément pas le juger vu ce qu’elle-même faisait. Obtenir ce qu’elle voulait en se jouant des hommes grâce à son physique. Elle devait bien admettre que parfois, elle n’était pas très fière de ce qu’elle faisait mais bon. Elle voulait prendre du bon temps avant de rentrer en Allemagne.

Le Poufsouffle de présenta. Akahito Kitsuka. Connaît pas. Non, ils ne s’étaient jamais parlés, mais Kirche l’avait déjà vu. Il sortait avec une Serdaigle. A mois que ce ne fut un autre couple évidemment. L’allemande ne resta pas en reste et se présenta à son tour, avec une voix chantante :

- Moi c’est Kirche Zilperstone.

La vert et argent sentait le regard du japonais osciller entre son visage et sa poitrine. Plutôt mignonne comme attitude. Kirche ne pu s’empêcher de sourire. Elle faisait cet effet là à une certaine partie de la population masculine de Poudlard. Elle avait même surpris le regard de certains professeurs. Akahito fit tomber sa guitare. Cela le gênait tant que ça ?! Kirche se retint de rire. Il s’était baissé pour la ramasser et s’assurait à présent qu’elle n’avait rien. Au moins, il n’avait plus, ni à regarder son visage, ni à regarder sa poitrine. Puis sa voix se fit entendre de nouveau, une voix un peu gênée. Kirche avait vu juste : il supportait mal de voir la poitrine de la jeune femme d’aussi près. Adorable. Kirche eut un léger rire.

- Je suis désolée, ma chemise est trop petite. Si ça te gêne tant que ça, je ferme ma cape.

Elle joint le geste à la parole. Non pas qu’elle ait vraiment l’habitude d’obéir aux autres, mais là, elle trouvait ça adorable. Elle avait fait assez de dégât pour la journée ! Mais si cela le gênait tant que ça, c’est peut être qu’il craignait de trahir une fille à laquelle il était attaché. Donc peut être que l’hypothèse du Poufsouffle avec la Serdaigle gothique ne faisant qu’une seule et même personne avec Akahito tenait la route !

- Tiens au fait, tu n’aurais pas une copine en Serdaigle par hasard ? Je crois vous avoir vu un jour. Et le lendemain, tu étais entouré d’autres filles…

Kirche sourit, d’un air entendu. Ce Poufsouffle était peut être un de ces sadiques qui aimait faire « rêver » des filles idiotes alors qu’il avait déjà une copine, qui sait ?

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La jeune serpentard se présenta. Kirche Zilperstone...Pas commun comme prénom, sans doute d'origine germanique ou d'un pays proche de l'est, mais le japnais n'était ce genre de personne jugean les autres par leur prénom. Mais il dut avoué quand même que c'était assez original. Alors qu'il "regardait" sa guitare, il entendit la voix chantonnante de la jeune femme...Ben voyons, sa chemise était trop petite...Il n'apaprtenait qu'à elle de se vétir convenablement ! Cependant, il apprécia son geste lorsqu'elle ferma sa cape. Ouf...Lorsqu'Akahito se releva, il constata qu'un sourire ornait les lèvres rosées de la jeune fille...Elle aussi, semblait jouer de son physique pour soutirer des informations aux autres.

Puis elle continua dans son dialogue, lui posant une question assez indiscrète. Pour qui se prenait elle ? Enfin, Akahito chassa cette idée de la tête et revint sur le présent, n'ayant plus à s'attarder sur le décolleté assez mal sain de la jeune fille. Elle ne soutira pas son sourire narquois, ce qui amusa quelque peu le Poufsouffle. Après quelques secondes de silence, ce dernier décida de les briser afin de répondre concrètement à la Serpentard.

Oui, j'ai bien une copine en Serdaigle. Camille Tanka. En ce qui concerne les autres filles, c'est une couverture...Mais tu dois me comprendre, ne ? Tu as l'air tout aussi sadique que moi vu tes tenues assez...Provocante.

Bam, il avait lancé ces paroles d'un trait, souriant aussi sournoisement lorsque que ces quelques mots sortirent de sa bouche. Un fin rire sortit de cette dernière alors qu'il passait une main dans ses cheveux ébènes. Il redéposa sa guitare sur son dos et sourit une nouvelle fois à Kirche. Elle lui ressemblait beaucoup, la jeune allemande. Se jouant des autres grâce à son physique fort avantageux. Enfin ouais...En un point elle lui ressemblait beaucoup.

Ils ne s'étaient jamais parler au paravant, et le Poufsouffle mourrait d'envie de la connaître en raison de leur ressemblance assez sournoise. Il n'était pas ce genre de personne jugeant les personnalités d'autrui par leur maison, et ce fut aussi pour ça qu'il souhaitait mieux la connaître. Le japonais s'adossa ensuite conte le mur, quelquesm èches de ses cheveux vinrent lui encombrer le regard, le donnant un air mystérieux mais aussi très séduisant. Il venait en quelque sorte de lancer un défi à la jeune fille...Qui succomberait le premier sous le charme de l'autre ? Défi puéril, mais amusant et très "rival".

Dis moi...Kirche, toi aussi...tu es souvent entourée de garçon. Tu n'as toujours pas trouvé quelqu'un qui te convenait ?

Akahito lança ces quelques paroles d'un air tout aussi provocateur, de sa voix de velour, comme s'il essayait de faire succomber la belle. Qu'il était sadique ce Poufsouffle...Peut-être aurait-il dû rejoindre les Serpentards. Le choixpeau magique y avait songé, même énormément. Mais ce fut aussi le choix d'Akahito qui chamboula la balance et même s'il pouvait être très malin, orgueilleux, sadique etc...il n'en restait pas moins quelqu'un de très travailleur, s'appliquant dans chacune de ses taches...y comprit la séduction.

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Si Akahito voulait toucher la jeune allemande par ses paroles, il pouvait repasser. Kirche se contenta hausser les épaules, sans perdre son petit sourire. Elle le savait pertinemment que ses tenues n’étaient pas innocentes. Mais il fallait faire avec ce que la nature vous a donné, non ? Et puis là, ce n’était pas totalement volontaire. Enfin si. Mais pas à ce point. Elle avait commandé de nouvelles chemises, parce que mine de rien, ça la serrait un peu. Et elle était contente de se déshabiller le soir. Enfin bref. Elle regarda le japonais d’un air de défi, un défi stupide, puéril. Lequel des deux cèderait le premier. Ce ne serait pas elle. Le jour où Kirche Augusta Frederica Von Zilperstone se laissera avoir par un homme n’était pas venu. Surtout un jeune homme, mignon, certes, mais qui se croyait plus malin. Ce n’allait pas être avec ça qu’il allait réussir à la déstabilisée !

Mais Kirche ne pouvait s’empêcher de constater que malgré leur divergence de maison, ils avaient un gros point commun. Comme le besoin malsain de séduire autrui par un physique des plus charmants. Pliant les autres à sa volonté par des procédés peu orthodoxe, quitte à parfois faire souffrir. Du sadisme ? Un peu… Mais c’était un peu fort quand même. Certes, on traitait souvent Kirche de trainée, et d’autres noms peu élogieux. Enfin la gent féminine traitait Kirche de trainée. Les hommes pensaient leur blessures et après ils voyaient si ils traitaient la fille - qui venait de leur briser le cœur - de trainée.

Puis Akahito chargea de nouveau sur le fait que Kirche était elle aussi entourée de garçons : n’avait-elle personne qui lui convenait ? Il avait parlé avec une voix séduisante, comme si le japonais avait voulu la faire tomber à ses pieds. Mouais, il se débrouillait pas mal ce petit. Kirche le regarda droit dans les yeux qui étaient recouverts par quelques mèches brunes, elle-même ayant un œil entièrement recouvert par une de ses mèches rouge vif.

- Non je n’ai personne. Le problème avec les élèves plus âgés, c’est qu’ils veulent aller plus loin que moi je ne le souhaiterais.

L’allemande repensa à sa dernière aventure « sérieuse » avec un septième année de Gryffondor. Une soirée particulière s’était terminée dans la Salle sur Demande, et là, Kirche avait vraiment perdu son innocence. A quinze ans. Ce n’était pas vraiment qu’elle n’en avait pas envie mais… Cet élève plus âgé savait ce qu’il faisait, il se montrait brusque, un peu trop rapide. Kirche en était à sa première fois, elle n’était pas sûre d’elle…

- Je ne suis pas une pédophile, j’évite les plus jeunes. C’est pour cela qu’un quatrième année de Poufsouffle a la trace de ma main sur sa joue. Il m’arrivait aux aisselles et ce gringalet se croyait irrésistible ! Je ne connaissais même pas son nom… Et ceux de notre âge… Mmh… A vrai dire, je n’ai pas encore trop testé.

Kirche passa la main dans ses cheveux et marqua une pose. Puis elle lâcha une parole au moins aussi provocante que ce qu’avait dit Akahito quelques instants plus tôt, avec une voix pareille à celle que le japonais avait utilisée. S’il voulait jouer au plus puéril, il n’était pas sûr de gagner !

- Tu sais, pas la peine d’utiliser une voix aussi doucereuse avec moi. Déjà que tu reluque ma poitrine –bon je l’avoue, c’est de ma faute -, mais que dirait Camille ?

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Tiens donc, la jeune femme si provocante ne voulait pas aller plus loin que le flirt et l'embrassement au clair de lune ? Etrange...Pourquoi arborait-elle un style si...si troublant, alors ? Paradoxe dont on ne trouverait jamais la solution. Puis elle continua dans son discours. Un rire légé s'échappa de la bouche du Poufsouffle. C'est qu'elle avait du caractère la Serpentard ! Puis elle continua, et là, un fin froncement de sourcil à peine visible se forma sur le si beau visage d'Akahito. Il ne voulait pas reluquer sa poitrinne. Nuance.

Non mais...Il n'était pas pervers ! Pas comme Ren. Certes il aimait regarder les filles, mais ça s'arrêtait là, et c'était bien pour ça qu'il avait demandé à la Serpentard de reboutonner sa cape. Il n'allait certainement pas voler la confiance de Camille, non, il n'était pas du tout ce genre d'homme assenant des coups de couteaux dans le dos. Il aimai sa belle, plus que tout dans ce monde.

C'est bien pour cela que je t'ai demandé de reboutonner ta chemise, d'ailleurs je t'en suis reconnaissant...Car vois-tu, malgrès mon comportement vis à vis des autres filles, j'aime Camille, et je ne la tromperais jamais...

Il lui avait répondu toujours sur ce ton arrogant mais si séducteur. Il jouait avec le feu, et il aimait ça...Mais gare aux flammes, elles peuvent brûler ! Il se redressa lentement, empoigna sa guitare avant de la déposer dans son dos, du genre " ne regarde pas ça, c'est trop horrible mon enfant ! " - XD - Il la chouchoutait, sa guitare. C'était son objet le plus précieux, certes bien moins que Camille - qui n'est pas un objet Uu" -, mais il la chérissait presque autant.

Sa guitare qui l'avait suivi dans ce monde si sinistre et sombre. Sa guitare qui ne l'avait jamais quitté, jamais trompé...Sa guitare si fidèle et qui l'acceptait comme il l'était. Comme Camille - attention ne croyez pas qu'il aime plus sa guitare que Camille...C'est faux ! -. Il lança un rapide regard dans la direction de Kirche et continua mais cette fois ci, évita la voix trop douce, non, il s'exprima sur un ton amical.

Toi aussi, j'imagine que t'as 200 millions de demande pour le bal de Noël à la seconde, n'est-ce pas ? Alala...Et dire qu'on a rien demandé.

Akahito sourit sur sa dernière phrase. Il était vrai qu'ils n'avaient rien demandé et même s'ils profitaient de leur position fort avantageuse, elle pouvait s'avérer parfois très ennuyeuse et embarassante, mais au fil du temps...Akahito s'y était habitué et prenait un malin plaisir à faire tourner en bourrique les filles de cet école. Il avait déjà eu des expériences d'un soir, mais ces dites expériences remontaient aux dernières vacances d'été. Il n'avait pour l'instant qu'une chose en tête, le faire avec la belle Camille qui lui avait déjà tant fait plaisir...

Le japonai sortit ensuite sa guitare de son étuit et commença à jouer quelques notes...Non pas pour frimer, mais pour s'exprimer. Ca lui arriver souvent de faire ceci en pleine discussion, mais il en avait besoin...profondément besoin. La musique lui permettait de s'évader loin de toutes ces filles...Loin de tout. Il joua exactement la même musique qu'il avait joué lors de sa rencontre avec Camille. Il se rappellait de chaque mots échangés avec elle. Il voulait aussi voir la réaction de la belle Serpentard.