Humeur massacrante après un réveille bruyant. [Libre]

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Kiyoshi venait de se réveiller en fureur, en effet celui-ci entendait son grand mal un bouquant d’enfers dans la salle commune de Poufsouffle, cela l’énervé au plus au point. Qui faisait se bruit infernale. Il s’habilla de son uniforme de or et noir avec dégoût, il détesté portait ses uniformes affreusement moche, mais la couleur était encore plus moche que les habille. Lui qui détester le jaune, et bien le voila servit. Il plaça ses cheveux correctement plaça ses bagues sur ses longs et fins doigts manucuré avec soin. Le jeune japonais descendit les escaliers en douceur, ses pas étaient légers et doux, plusieurs personnes se poussait pour le laisser passer tel un roi. Il arriva enfin dans la salle commune et eu une grande envie de criait pour que tout le monde se taise.

Le bouquant était infernale, il aurait réveiller les morts d’ailleurs notre jeune Kiyoshi était d’une humeur massacrante. Il y a de quoi, se faire réveiller avant six heures était un sacrilège pour le jeune asiatique. Etant donnés qu’il avait trouver le sommeil après minuit, et repensait doucement a ses parents a se qu’il vivait avant leurs morts et après donc maintenant. Il remerciait plus que tout son grand-père, qui lui avait tout apprit, qui l’avait recueillit et finit de l’élever.

Kiyoshi aimait plus que tout son grand-père qui pour lui était son deuxième père, il ne lui restait que lui et tenait a lui que la vie en elle-même… L’adolescent âgé de seize ans s’approcha d’un canapé déjà occupé, il ne se préoccupa pas de cette personne et n’essaya même pas de lui demander si il pouvait s’installait. D’ailleurs il se fichait de sa après tout le canapé de couleur or était a tout le monde… Il regardait le feu orangé crépité doucement dans la cheminée, se concentrant juste sur se bruit, l’avantage c’est que après il n’entendait plus le vacarme assourdissant qu’il y avait dans la salle, cela lui permettait de ne pas avoir mal la tête, de ne pas hurlait son désespoir mais de resté calme, atrocement clame. Certaine personne lui demandait comment il faisait, c’était simple il se concentrait sur un seul bruit et se déconnecter de monde, mais bien sur on pouvait lui parlait, le japonais entendrait son grand mal et répondrait sans difficultés. Le jeune homme aux cheveux brun et blond avait ses yeux chocolat clos, il aimait le silence malgré les élèves discutant a ses coter lui ne faisait pas attention, a ce moment précis il ne faillait sous aucun prétexte le déranger, le sortir de sa rêverie, sinon on risquerait d’être victimes de son humeur plus que massacrante.

Certes Kiyoshi était de mauvaise humeur, mais juste pour le calmait il suffisait parlait avec douceur et surtout de ne pas le brusquait, il tenait cette humeur matinal de son père et n’y pouvait rien.

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M’étant endormie vers trois heures du matin, c’est avec fureur que j’avais ouvert les yeux à cinq heures et demi du matin : un de mes camardes de chambre ronflait. Et pas qu’un peu. Je ne savais pas comment il faisait puisque la salle commune était des plus bruyantes. Comme cela se faisait-il d’ailleurs ? A cinq heures et demie, tout le monde dormait habituellement ! Enfin. Je me levai et me préparai dans la salle de bain avant que mon dortoir ne se réveille. Surtout que le pyjama que je portais était moulant et que toute l’école aurait été au courant que je ne suis pas un garçon… ou alors un garçon assez difforme. Enfin bref. Je revêtis l’uniforme règlementaire après avoir bien camouflé ma féminité et je descendis parmi le bruit. Dès le matin franchement… En plus, il n’y avait pratiquement que des premières années. Ces satanés gamins ! Je ris tout de même intérieurement : ça m’allais bien de les traiter de satanés gamins tiens ! Je m’installais dans un des canapés libres tout près du feu. Les crépitements m’apaisaient et m’aidaient vaguement à faire abstraction du bruit.

Je me plongeais peu à peu dans une sorte de demi-sommeil, si bien que lorsqu’un autre élève s’assit sur le canapé, je me réveillais en sursaut en marmonnant :

- Nan…. Pas le cuir… ça gratte…

Me demandais pas à quoi je rêvais, je ne peux pas vraiment le dire moi-même. Mais qu’importe. Je détaillais ce garçon – un asiatique, je ne m’avancerais pas à dire sa nationalité… Japonais peut être ? – qui devait avoir un ou deux ans de plus que moi. Je ne connaissais pas son nom pour ne lui avoir jamais parlé. Enfin en tous cas, il semblait de très mauvaise humeur.

- Ces satanés gamins... Dès le matin ça cause, ça cause.

Encore avec mon « ces satanés gamins ». Mais bon. Ce garçon, malgré ma mauvaise humeur m’intéressait. Dans le sens où j’avais envie de discuter avec lui bien sûr. Je tirais sur le bas de mon uniforme qui faisait un faux pli. Franchement. Je n’aime pas vraiment le jaune. Heureusement que notre uniforme est dominé par le noir. On aurait eu l’air de pots de moutarde géants. Je souris au garçon, en espérant juste qu'il ne m'envoie pas sur les roses. J'y étais pour rien moi aux bavardages !

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Kiyoshi entendit une voix à ses cotés, il tourna doucement la tête en espérant que ce n’était pas un de ses premières années qui voulait jouer les grands en voulant parlé a un jeune homme cinq fois plus grand que lui. Il aperçut un jeune homme d’apparence plus jeune d’un ou deux ans que le jeune asiatique. Le jeune homme lui fit remarquait que ces satanés gamins bavardés déjà a cette heure trop matinal au goût du jeune asiatique. Il détailla le jeune homme à ses cotés de ses yeux chocolat. Le japonais fut étonné de voir que le jeune garçon assis à coté de lui avait les cheveux long et indigo, son visage avait un doux cotés efféminé qui intrigué Kiyoshi. Son visage faisait ressortir ses yeux d’une superbe couleur ambre.

- Je ne te le fais pas dire…

Le jeune homme jaune et noir destina un magnifique sourire à son camarade de maison, ne sachant pas son nom il se débrouillé pour trouver enfin un nom. Mais aucun ne venait s’introduire dans son cerveau ne voulant pas lui obéir avec tout se bruit assourdissant. Il détestait vraiment c’est gamins ne pouvant pas tenir en place.

- Kiyoshi Sato.

Le jeune brun a la frange blonde lança un doux sourire a faire fondre toutes filles qui se trouvé sur son passage. Mais se sourire, il ne le commandé pas, pour lui c’était naturel de sourire comme sa, d’ailleurs tout le monde croyaient qu’il faisait sa pour draguer. Mais non, d’ailleurs il n’aimait pas sourire, après on le regardé avec des yeux qui papillonné, il détestait plus que tout sa.

Il effaça de ses lèvres pulpeuse se sourire magnifique, d’ailleurs quelques premières années le regardait sous le charme, et encore des filles a rajouté a la liste déjà très longue. Kiyoshi ne prit même pas le peine de regardé les jeunes demoiselles, il avait juste envie de partir loin de celle-ci.

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